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  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
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chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

                                                    ------------------------------00000000000000000-----------------------------------------




 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



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TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

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DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 08:17

Mercredi 15 mai 2013315/05/Mai/201307:30   

Voici quelques jours, comme vous le savez sûrement, un islamiste assigné à résidence (à nos frais) s’est fait la malle.
Valls à déclaré avec son pseudo air martial que cet homme etait extrêmement dangereux… mais sans expliquer pourquoi un type dangereux n’était pas maintenu en taule ou simplement renvoyé chez lui. Les autorités voulaient soit disant, pouvoir surveiller cet individu, on voit le résultat !

Pour autant que j’ai compris cette affaire, cet islamiste avait fait de la prison…soit, mais s’il est considéré dangereux j’estime qu’il aurait dû y rester, fût-ce à perpétuité et merde aux droits de l’homme.


Cela semble extrême ? Désolé çne l’est pas, je m’explique, je connais deux petits vieux, qui, hélas pour eux, ont eu parmi leur dix enfants, un fou, disons psychotique je ne connais pas la terminologie exacte. Tout jeune garçon il a commencé à être pyromane d’après ce que je sais, il a incendié quelques bâtiments abandonnés, le village a voulu faire front, tenter de le garder en son sein en le surveillant, c’était l’époque où la folie etait honteuse, où chaque village avait son « idiot » en quelque sorte et celui ci ne s’attaquant qu’à des ruines la population ne voulait sûrement pas se montrer trop dure.


Puis, il a commencé à tuer des chats ou des chiens errants, d’abord dans des lessiveuses puis… en les brûlant vifs, premiere condamnation, il n’était je crois même pas majeur mais sa famille pensait, à tort, qu’un séjour en maison de correction le calmerait… il n’a rien fait que s’y battre et a fini à l’asile, là, avec les méthodes d’antan, on l’a « soigné »…et renvoyé chez lui au bout d’un temps ma foi assez long.
Il a fini par attraper une pauvre petite fille, l'a attachée à un arbre et a commencé à construire un bûcher, fort heureusement les cris de la petite ont alerté la populace elle en fut quitte pour une grosse frayeur…MAIS, depuis ce jour il vit en psychiatrie, son désordre mental est tellement grand que les médecins refusent le risque de lui donner un traitement à l’extérieur, ils se contentent, faute de choix, de le maintenir dans une sorte de coma éveillé et quand ils tentent de limiter les doses la folie montre directement qu’elle est toujours bien là, alors retour à l’abrutissement.

Cet homme dont ses parents m’ont parlé doit avoir aujourd’hui la cinquantaine, il n’a jamais tué UN HUMAIN, il a voulu le faire certes mais il a échoué ! Pourtant, il ne sortira JAMAIS (heureusement je pense) et là les droits-de-l’hommiste ne disent rien (et ils ont raison).


Alors je pose la question.
Pourquoi un terroriste, qui a fomenté des meurtres de sang froid, qui depuis sa prison déclarait qu’il allait recommencer, peut-il faire une dizaine d’années de taule puis passer en résidence surveillée ?

Quand la dangerosité est ainsi établie la perpétuité se justifie je pense, ce n’est pas inhumain que de mettre au ban des individus dangereux, c’est de la précaution nuance.

Blanc, noir, beur ou jaune un homme peut (parfois) tomber sur une mythomane qui va l’accuser faussement de viol après un rapport parfaitement consenti…deux fois ça devient très improbable et cinq ou six impossible.
Un homme, une femme peut tuer pour se défendre, mais hormis les flics ou les militaires on ne se défend pas dix fois de suite.
La racaille qui agresse pour un regard ou une cigarette refusée, et qui s’en vante devant les juges devrait être prévenue UNE FOIS, PAS DEUX, Ensuite dès la récidive les peines devraient être ultra lourdes, et ultra dures.

Je déraisonne ? Les prisons n’y suffiraient pas ? Foutaise, le dealer ou l’agresseur « blessé par un regard » seraient moutons en sortant de MES prisons, des prisons sans salles de sports, sans loisirs aucun, ni télé ni consoles de jeux, ni visites, RIEN !
Mes prisons auraient deux résultats GARANTIS. Le premier, récidive zéro, le libéré n’oserait même plus traverser la route hors des passages piétons, et son exemple ferait réfléchir les candidats agresseurs. Le deuxième résultat, c’est que le libéré qui serait immigré ou franco-machin se hâterait de quitter l’hexagone, en cinq ans nous aurions 20 000 demandes de visas, pas plus mais ce serait des médecins ou des ingénieurs honnêtes...

Philippe le Routier

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 17:13

320364 3223160437383 2038322834 nPar Jean-François Touzé, Président des Nouveaux Républicains

 

Les évènements du Trocadéro constituent une affaire d'Etat. Il n'est pas acceptable qu'un ministre de l'Intérieur et un Préfet de police, connaissant les risques encourus, ayant eu la veille, par les violences opérés par les casseurs sur les Champs Elysées, un avant goût de ce qui allait inéluctablement arrivé, ne prennent pas les mesures exceptionnelle susceptibles d'endiguer les tentatives émeutières.


Il n'est pas acceptable qu'un ministre de l'Intérieur et un Préfet de police donnent aux CRS l'ordre de quitter les lieux pendant 20 minutes ( entre 20H30 et 20H50) livrant la place du Trocadéro au pillage, au saccage et à la folie barbare des bandes encagoulées.


Leur démission doit être exigée.


Pour autant, chacun voit bien que c'est le système tout entier qui est vermoulu; que c'est la République toute entière qui est défaite; que c'est l' Etat tout entier qui est à reconstruire; que c'est la France toute entière qui titube au bord du volcan.


Depuis trente ans des gouvernements de circonstances et d'intérêts ont nié les réalités, repoussé les solutions, joué avec le feu qui commence à dévorer l'édifice.


Ceux là sont discrédités.


Parce que la France ne peut plus s'en remettre à ceux qui l'ont conduit à l'affaissement et qu'elle ne peut se permettre l'aventure d'une expérience révolutionnaire dans aucune de ses deux composantes nationaliste ou internationaliste, c'est en nous même que nous devons trouver les forces du relèvement.


Rejoignez-nous!

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 14:58

drapeau-fran-ais.jpg

Mardi 14 mai 2013214/05/Mai/201314:45

Les scènes d'émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France.
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l'autruche et refusent d'amalgamer et de s'attaquer aux réelles causes de ces problèmes.
Quel rapport y a il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d'émeute vécues hier ? Aucun. Il n y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs "casseurs d'extrême droite" comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c'est aussi un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes. On a les supporteurs que l'on mérite.
Des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d'agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.
Faudra-il attendre que leur nombre s'accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ?
Faudra-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l'encontre de touristes, mais aussi à l'encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?
Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi , que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, à Paris, mais aussi dans toutes les régions de France, pour défendre la famille.
Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l'interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l'objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement. (Richard Roudier, président du Réseau identités, est d'ailleurs convoqué jeudi à au commissariat de Montpellier afin d'être entendu au sujet du lancer de fumier sur la permanence socialiste.)

Car il s'agit bien là d'une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d'un an, bien aidée en cela par une droite peureuse qui, sitôt au pouvoir, s'empresse de céder aux pressions bienpensantes, humanistes et libérales, ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans.
Car cette dictature socialiste, répressive à l'égard des défenseurs de la famille mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l"égard de toute "la misère du monde" qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables "chercheurs d'excuses professionnels".
Une majorité de jeunes noirs et arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ?
"Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant là aussi brûlé" 'Offrons leur des vacances dans les rares régions de France préservées de ces bandes ethniques, histoire qu'ils leur apprennent le vivre-ensemble façon "9-3 "


Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ?
"C'est le racisme de la société française blanche mais aussi la traite des noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison "

 


Oui, il s'agit bien d'une dictature qui s'instaure petit à petit, dans un climat proche d'une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le LumpenProlétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui cherche à restreindre le dernier espace de liberté d'expression qu'est aujourd'hui Internet.
Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression routière féroce, alors qu'elle est dans le même temps si permissive avec "ceux qui sont majoritaires dans les prisons mais qu'on ne peut pas nommer".
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du pays soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens, dont nous voyons aujourd'hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d'agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l'envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein coeur de la capitale.


Le peuple de France doit désormais savoir que, dans les années troubles qui viennent, qu'elles soient troubles socialement, économiquement ou ethniquement, il ne pourra plus compter sur ses gouvernants, ses politiciens et tout ce petit monde médiatico-politique "où tout le monde se connaît". Les Français ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts, ni leurs préoccupations.
A nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d'une société qui sache s'opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.

"Quand les peuples cessent d'estimer, ils cessent d'obéir".

Yann Vallerie

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 09:56

  

 

emutes-1.jpg

Qui sème le laxisme récolte la violence et la délinquance.
Qui sème l'immigration récolte l'émeute et la guérilla urbaine
Qui sème l'abaissement de l'autorité et le renoncement de l'Etat récolte les pillages et la guerre civile.

Moi, Président, je réprimerai sans faiblesse les émeutes, je reconquerrai les territoires perdus de la République et je casserai la pègre des cités.

Et si doit couler le sang de la racaille, il coulera.

Jean-François Touzé
Président des Nouveaux Républicains
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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 06:27

Petit rappel de l'histoire, qui a ouvert une plaie si profonde que 55 ans plus tard elle n'est toujours pas cicatricée!

La crise de mai 1958 marque l'arrivée du général de Gaulle au pouvoir dans le contexte insurrectionnel de création d'un premier comité de salut public à Alger par le général Massu le 13 mai suite à un coup d'État (putsch d'Alger (1958)) et d'un second comité de salut public, cette fois en Corse, le 26 mai par le colonel Jean-Robert Thomazo (Opération Résurrection‎). Un ultimatum expirant le 29 mai est adressé à Paris. En effet, une partie de l’armée en Algérie prépare secrètement — en liaison avec les gaullistes — un débarquement sur Paris : c’est l’opération dite Résurrection. Le 26 mai, de Gaulle rencontre secrètement Pierre Pflimlin, mais ils ne parviennent à aucun accord, de Gaulle refusant de désavouer Alger et de condamner la prise d’Ajaccio. Mais le lendemain, forçant le destin, de Gaulle affirme qu’il a « entamé le processus régulier nécessaire à l’établissement d’un gouvernement républicain capable d’assurer l’unité et l’indépendance du pays ». De Gaulle apparaît dès lors comme l'« homme providentiel » pouvant résoudre la crise. « Prêt à assumer les pouvoirs de la République », il forme alors un gouvernement et fait voter une nouvelle constitution, établissant un régime semi-présidentiel taillé sur mesure. En octobre, il propose la « paix des braves », cessez-le feu unilatéral que les indépendantistes du FLN refusent, et amorce le processus d'indépendance de l'Algérie.

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 16:50

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 15:23

 Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

 l’UDF à l’époque)

Le candidat désigné par le Parti socialiste claironne, fort de ses chiffres, qu’il est confiant… Mais l’étiquette du parti à la rose est-elle vraiment si porteuse que cela depuis un an ? Outre le plongeon de la cote de popularité du locataire de l’Élysée et de son inexistant Premier ministre, le « scandale Cahuzac » n’a sans doute pas été sans répercussion sur l’électorat socialiste dont était tout de même issu la brebis galeuse qui n’entend pas se laisser clouer au pilori de l’infamie sans mots dire… et sans maux collatéraux.

Tout peut donc dépendre sur place de l’existence des réseaux d’influence de Jérôme Cahuzac… ou de ce qu’il en reste ! Que ses obligés soient nombreux – et pourquoi pas ! — et se mobilisent comme il faut, le personnage peut très bien décrocher au minimum un ticket de second tour. Ce qui serait déjà acquérir une légitimité pour reprendre pied sur l’échiquier politique français… et préparer un futur retour à l’Assemblée nationale, que ce soit dès le 23 juin prochain… ou plus tard.

Car l’électeur, dégoûté par la classe politique, toute étiquette confondue, peut créer la mauvaise surprise par simple esprit de représailles. Rappelons-nous le précédent Coluche… L’humoriste avait annoncé sa candidature, à poil et une plume dans les fesses… et avait persisté, soutenu à l’époque par l’équipe d’Hara Kiri, emmené par le défunt professeur Choron. Il fut rapidement crédité de 15 % des intentions de vote dans les sondages(1) et obtint sans difficulté plus de 500 signatures d’élus pour le parrainer.

Certes, le « mec » finit par retirer sa candidature, mais son « histoire »(2) avait tout de même soulevé un vent de panique dans la classe politique de l’époque : celle-ci avait bel et bien failli être ridiculisée.(3)

Imaginons qu’un Jérôme Cahuzac, voleur avoué, parjure devant ses pairs de l’Assemblée nationale et, bien plus grave pour le système, « les yeux dans les yeux » devant un procureur de la « Cour médiatique »(4) soit reconduit à l’Assemblée nationale par une majorité d’électeurs…

Existerait-il pire scénario pour l’UMPS ?

On se prend à rêver d’être électeur de Villeneuve-sur-Lot…

Notes

(1) Le 14 décembre 1980, un sondage publié par Le Journal du dimanche le crédite de 16 % d'intentions de vote.

(2) Allusion à un sketch célèbre de l’humoriste : C’est l’histoire d’un mec…

(3) Michel Debré, ancien Premier ministre et père de l’actuelle Constitution française et candidat à l’élection présidentielle, était alors crédité de quatre fois moins de suffrage que Coluche.

(4) Sur BFM TV, devant Jean-Jacques Bourdin, le 8 février 2013.

Il fut un temps où un commerçant en faillite se tirait une balle dans la tête, moins pour échapper à ses créanciers que pour laver son honneur et préserver ce qu’il estimait primordial pour ses proches : l’honneur de son nom. Idem pour un militaire vaincu. Mais comme on dit actuellement : « Ça, c’était avant ! »

La preuve par Jérôme Cahuzac.

Certes, l’ex-député, ex-ministre, ex-membre du Parti socialiste, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale pour avoir détenu et avoué avoir possédé un compte bancaire à l'étranger, n’est ni un ex-commerçant, et encore moins un ex-militaire. Un simple politicien. Mais quand même ! À défaut de se loger quelques centimètres de métal dans la tronche, on aurait pu s’attendre de sa part à un retrait de la vie publique… ou tout au moins à une discrétion, même passagère.

Que nenni ! Après avoir laissé durer le suspense sur la récupération – comme la loi le lui autorisait – de son siège de député auquel il a finit par renoncer, toujours avec la moue dédaigneuse qu’il affiche en permanence, il laisse désormais planer le doute sur sa possible candidature à la législative partielle des 16 et 23 juin prochain de sa circonscription du Lot-et-Garonne…

Et pour que tout un chacun comprenne bien ses intentions – en tout cas, celles de prouver qu’il est toujours là et bien là – il est venu samedi matin arpenter les allées du marché de Villeneuve-sur-Lot. Comme au bon vieux temps, celui où il était le tout puissant député-Maire. Serrant des mains, distribuant ses compliments et ses commentaires. Et Jérôme Cahuzac a prouvé qu’il ne volait pas seulement les contributions directes, mais aussi la vedette… au Front de gauche qui, inaugurant une permanence dans la ville, a vu les journalistes venus pour l’occasion, s’envoler dans sa direction, sitôt sa présence connue.

L’attitude du personnage soulève évidemment bien des questions… Qu’est-ce qui peut bien le pousser à pourrir ainsi la vie de ses anciens copains socialistes ? Le sentiment d’être lâchés par nombre d’entre eux tout aussi coquins que lui, voire même davantage… ou faire pression sur les mêmes afin de se négocier un avenir le plus confortable ou le moins désagréable possible ?

Ou alors la conviction que rien n’est encore perdu. Soit la possibilité d’être réélu dans un mois au nez et à la barbe d’un pays indigné, mais où il est de notoriété publique qu’« impossible n’est pas français. »

La circonscription, en effet, n’est guère « à droite » : depuis 1988, le Parti socialiste ne l’a cédé qu’a un centriste (de  entre 2002 et 2007… et Jérôme Cahuzac, après l’avoir emporté avec 52,08 % des suffrages, y a été réélu en 2012 avec 61,48 %.

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 12:59

Une fois de plus, pour ne pas dire une fois de trop, on nous tartine notre pain quotidien avec l’esclavage, « noir » bien évidemment !

Et le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) veut obtenir des réparations financières liées à cet esclavage d’avant le 18è siècle et elle les réclame au nom des millions de ces descendants d’esclaves noirs qui, aujourd’hui, vivent libres dans notre monde.

A qui le doivent-ils?

A tous ces peuples qui les ont contraints à venir, pour travailler dans les plantations, bien sûr. Malgré tout, pour beaucoup cela leur a assuré leur pain quotidien, l’hygiène, la possibilité de fonder des familles et d’avoir une descendance qui peuple les Antilles, alors qu’en Afrique la mortalité n’atteignait pas trente ans.

Mais on n’entend pas ce CRAN réclamer justice pour tous les noirs livrés à l’esclavage qui sévit encore de nos jours.

L’esclavage n’a été supprimé (théoriquement) en Mauritanie qu’en 1986 mais rien n’a changé depuis et la traite des Noirs par les Noirs se poursuit sur la rive nord du fleuve Sénégal.

En 2010, à Khartoum (Soudan) l’esclavage existe toujours et un esclave mâle adulte coûte cinquante dollars, selon un rapport de l’Association suisse « Slavery International » spécialisée dans le rachat et la libération des esclaves noirs.

Et qui en parle ?

Alors parlons-en de l’esclavage, mais de tous les esclavages.

Et surtout de celui où il ne reste plus personne pour réclamer quoi que ce soit, c’est-à-dire de l’esclavage « blanc » ! Mais celui-là personne ne le connait.

Ce n’est pas un hasard si les Turcs ont choisi ce point stratégique qui se situe en plein centre de leur principale zone d’activité, le bassin méditerranéen du détroit de Gibraltar jusqu’au bas de la botte italienne, la Sicile et les côtes tunisiennes. De ce port partent dorénavant les galères qui écument les mers et les villes côtières de la Méditerranée à l’Adriatique. Ils s’emparent des populations chrétiennes qu’ils revendent ensuite au plus offrant sur les marchés d’Alger, Tunis, Tripoli et Alexandrie. L’esclavage et le pillage sont les principales ressources des nouveaux maîtres de ce « pays », le facteur principal de prospérité des «roitelets» du Maghreb et la fortune des marchands spécialisés. Un bateau sur deux est arraisonné, les razzias se multiplient sur les côtes espagnoles, françaises et italiennes. Les vieux sont massacrés les autres : femmes, enfants et jeunes hommes sont enlevés et vendus comme esclaves ou comme galériens, les marchandises sont dispersées auprès de commerçants patentés et soumis à un racket officiel. Des dizaines de milliers de marins, paysans, voyageurs, sont entassés et condamnés aux travaux forcés et donc à une mort lente dans les bagnes d’Alger. Les plus fortunés sont rendus contre forte rançon et ce sont les «Chevaliers de l’Ordre de Malte» enveloppés dans leur robe de religion, blanche et frappée d’une croix rouge sur le devant qui servent de négociateurs quelquefois au péril de leur vie car leur flotte s’oppose constamment aux barbaresques. Ils sont souvent épargnés car ils apportent de riches présents pour plaire aux cheiks et, de plus, ils sont absolument nécessaires afin d’établir le contact avec les riches familles des « otages ».

Grace à leur intervention Miguel Cervantès, l’auteur de « Don Quichotte » est rendu à son pays.

En 1535 les raids barbaresques sur l’île de Minorque rapportent six mille captifs et en 1544 les galères de Barberousse s’emparent de douze mille Blancs à Lipari. Des razzias gigantesques enlèvent des captifs blancs dans les régions de Barcelone, Lisbonne, Rome, Gênes ainsi que sur tout le littoral Languedocien et même à l’intérieur des terres à partir du Massif des Maures et jusqu’au Kosovo, où les enfants deviendront des janissaires.

Les Africains sont les premiers trafiquants d’esclaves. Les rois du Mali et du Ghana possédaient des milliers d’esclaves et le Niger et le Dahomey vendaient leurs propres sujets au plus offrant.

Les ports d’embarquement appartenaient aux souverains noirs et non pas aux « négriers blancs ». Ces derniers recevaient une « marchandise » qu’ils convoyaient dans « les meilleures conditions possibles de l’époque ».

Après le XVIIe siècle, les Noirs sont devenus plus chers que les Européens à cause de la demande en augmentation vers l’Amérique du Nord et donc les razzias ou les achats à prix bas se développent à partir de Mogadiscio, Madagascar, les Comores, etc. Les centres de traite et les entrepôts de chair humaine détiennent plus de 200.000 esclaves, les principaux se trouvant à Zanzibar.

La femme blanche est considérée comme une denrée de luxe qui se monnaye au prix fort sur la célèbre place du Balistan à Alger pour être dirigée et revendue dans les harems orientaux.

Les Turcs ont besoin des caravanes arabes qui se sont ralliées pour traverser les territoires peu surs car s’ils sont les maîtres des mers ils n’organisent pas le transport sur terre.

Je vais m’autoriser quelques commentaires sur l’esclavage et je sais que je ne vais pas me faire que des amis.

Du XVIe siècle au début du XIXe, plus d’un million d’esclaves « blancs » ont disparu en Afrique du Nord. Je dis « disparu » car il n’existe nulle part au monde une descendance de ces esclaves susceptibles d’exiger une repentance des Arabes et des Turcs.

En revanche les descendants d’esclaves « noirs » ne cessent de l’exiger des nations qui ont participé à ce « commerce » entre l’Afrique et les Amériques.

A Nantes, un mémorial qui occupera un espace de sept mille mètres carrés, situé sur les quais de la cité des ducs et édifié aux frais des contribuables (sept millions d’euros) ne s’intéressera qu’à la traite des noirs. L’esclavage blanc sera totalement occulté, mais nous y sommes habitués. Nous conseillons tout de même aux responsables de ce « vaste » projet d’aller visiter, à l’aide d’un professeur d’histoire marocain, les « vastes » voûtes souterraines de Meknès où étaient parqués les esclaves blancs au Maroc, avant d’être empalés, écartelés, enchaînés et, dans le meilleur des cas, castrés avant d’être vendus sur les marchés. Peut-être que cette visite guidée leur permettra de comprendre qu’il serait souhaitable de réserver un « petit espace » à « l’esclavage blanc ».

Je me permets de conseiller aux édiles nantais la lecture du livre remarquable de l’historien Olivier Pétré « Les traites négrières » (Gallimard) :

« L’esclavage n’a pas été seulement le fait des occidentaux. La condition des esclaves était atroce mais l’intérêt des négriers n’était pas de les laisser mourir puisqu’ils tiraient profit de leur vente. »

Examinons avec objectivité les circonstances et les responsabilités.

Tout d’abord ce sont les Arabes et les Noirs qui partaient à la « chasse à l’esclave », qui razziaient les territoires limitrophes du Sud Saharien et des Afriques Occidentale et Orientale, et ramenaient jusqu’aux différents ports d’embarquement leur « marchandise humaine » qui était acheminée, comme l’on peut s’en douter, dans des conditions abominables et livrée dans un état souvent déplorable.

Là cette « marchandise » était prise en charge par ceux que l’on a surnommés « les négriers » et qui la transportaient jusqu’à destination.

Une abondante littérature et de nombreux films ont traité ce sujet d’une manière très caricaturale : le « négrier blanc bien entendu » était un tortionnaire dont le seul but était de malmener et de transporter cette « marchandise » avec une cruauté raffinée.

J’emploie le terme « marchandise » à bon escient car une marchandise ça s’achète et ça se vend et si possible avec un important bénéfice. Il a certainement existé quelques rares « négriers blancs » ressemblant à ceux décrits dans ces films et cette littérature mais la très grande majorité pratiquait ce « transport » pour gagner de l’argent et pour en gagner le plus possible il fallait que cette « marchandise » soit livrée dans le meilleur état possible pour être vendue le plus cher possible. CQFD !

Mais revenons au tout début. Il n’est nullement question de faire l’apologie de l’esclavage, de justifier les razzias, les enlèvements, les massacres des vieux et des handicapés, les viols, le déplacement d’importants groupes de femmes d’enfants et de jeunes hommes mais de réaliser une analyse confirmée de son évolution dans notre société moderne et d’expliquer que sans cet esclavage le monde actuel ne serait pas ce qu’il est et qu’il a eu des conséquences bénéfiques pour la très importante population « noire et libre » qui depuis le début du XX° siècle s’est fortement développée et vit aux Etats-Unis et dans les DOM-TOM.

A l’origine leurs ascendants, les esclaves, vivaient en Afrique si l’on peut dire libres mais avec une espérance de vie qui ne dépassait pas les trente ans pour des tas de raisons que nous connaissons car elles sont toujours d’actualité pour la plupart : faim, eau, hygiène, maladies, massacres entre ethnies, etc.

Ils ont été enlevés, transportés, mais ils sont arrivés dans des pays qui avaient besoin de leur main d’œuvre. Bien sûr ils étaient esclaves, bien sûr ils appartenaient à des « patrons », mais afin qu’ils soient le plus productifs possible il fallait les maintenir dans la meilleure condition physique possible, non pas pour des raisons humanitaires mais uniquement financières afin qu’ils soient plus rentables. Ils ont certainement connu une existence plus confortable dans les exploitations cotonnières du sud que celle qui aurait été la leur s’ils étaient restés en Afrique précoloniale.

Nourriture-logement-sanitaire-hygiène ! En les privant d’une liberté qui les aurait sans doute vus mourir à vingt ans l’esclavage leur a permis de survivre et de se multiplier. Ils ont été nourris certainement mieux qu’ils ne l’auraient été en Afrique, ils ont été soignés et ont connu une hygiène inexistante chez eux, ils ont fondé des familles, eu de nombreux enfants qu’ils ont pu élever dans des conditions sans doute pas idylliques et dans l’objectif d’une nouvelle main d’œuvre, mais leur population s’est développée et s’est multipliée. Bien sûr ils ont été exploités, bien sûr ils ont travaillé dur, bien sûr ils n’étaient pas « libres », mais le résultat de tous ces « bien sûr » c’est le peuple noir américain actuel, la place qu’il occupe dans tous les domaines et à tous les niveaux de la société, y compris à la présidence suprême des Etats-Unis (Obama n’aurait jamais été élu président sans les votes des Noirs américains.) Cet exemple est identique pour les descendants d’esclaves résidant dans les DOM-TOM et en Amérique du Sud.

Tout cela n’aurait pas vu le jour si à l’origine leurs ascendants n’avaient pas été des esclaves.

Tout comme il a existé une colonisation constructive et une colonisation destructrice il a existé un esclavagisme destructeur et un esclavagisme constructeur dont on perçoit le résultat démographique depuis la fin du XIXe siècle.

Esclavagisme destructeur celui subi par des dizaines de milliers d'européens dans le Maghreb entre le XVIe et le début du XIXe siècle, enlevés, enchaînés, torturés, vendus ou échangés comme du bétail dans tout l'empire islamique et voués à une destruction certaine dont bien entendu il n'existe plus aucune trace de nos jours.

La traite musulmane a duré plus de mille deux cents ans et elle n’est pas éteinte aujourd’hui (alors que la traite des chrétiens n’a duré qu’un peu plus de deux cents ans) mais elle est totalement occultée des manuels scolaires.

En 1953 les marchands de Djedda allaient encore « racoler » des Noirs au Soudan et au Niger.

« Le général Challe, dans un de ses rapports en 1959, indique que des caravanes d’esclaves partent de Mauritanie et du Niger pour être vendues par les marchands arabes sur les bords de la Mer Rouge.»

D'ailleurs cet esclavagisme s'est poursuivi en 1962, sous le regard indifférent des autorités françaises, par l'enlèvement de quelques milliers d'européens en Algérie dont on n'a plus la moindre nouvelle. On ne peut qu'espérer qu'ils aient tous disparu et que leur âme repose en paix.

Déclaration de Houari Boumediene, Président de la République algérienne, dans le journal « L’Eclair » en date du 26 janvier 1971 :

« A Paris on semble ignorer que nous détenons un très grand nombre d’otages français. Quand il le faudra nous en communiquerons la liste à toute la presse et cela provoquera une émotion considérable en France. Alors pour obtenir la libération de ces otages il faudra y mettre le prix »

Cela fait 50 ans que ces otages, ces esclaves, sont aux mains de ces sauvages et tous les gouvernements français sont au courant. Jamais l’un d’eux, qu’il soit de droite ou de gauche, n’y a mis le prix. Des millions sont versés pour libérer les otages auxquels les médias s’intéressent, dont les photos font les premières pages des quotidiens, des magazines et des murs des hôtels de ville, mais les nôtres ont pu crever en toute tranquillité, dans l’anonymat le plus complet, sans que cela n’émeuve pas grand monde en métropole.

Alors je pose la question : qui devrait réclamer la repentance au nom de l'esclavagisme ? Les Africains qui aujourd'hui sont la composante d'une très importante partie de la population des Etats-Unis et ont permis l'élection d'un président noir, ceux vivant dans les DOM-TOM avec les avantages et l’assistanat de la France ? Ou les » blancs » dont il ne reste aucun rescapé susceptible de réclamer justice et repentance ?

Si l’on proposait aujourd’hui à ces populations noires d’Afrique d’être transportées vers les Amériques ou la France même au prix de leur liberté (n’est-ce pas ce qu’elles tentent de faire par tous les moyens même au prix de leur vie ?) afin de leur assurer une existence identique à celle qu’ont connu leurs ascendants, c’est-à-dire nourriture, logement, hygiène, etc. ils seraient des millions à être volontaires. L’existence des clandestins n’est-elle pas plus précaire que celle de leurs aïeux ? Et ces millions de noirs musulmans qui crèvent de soif, de faim et de toutes sortes de maladies, dans les régions de la « corne de l’Afrique », qui n’ont même plus la force de prier Allah et dont les enfants n’apprendront jamais le Coran car ils meurent avant l’adolescence, ne seraient-ils pas volontaires pour être « razzié » et transportés comme esclaves ? Ils auraient au moins la chance de survivre.

Les envolées littéraires sur la liberté sont des plus romanesques, mais entre la liberté de mourir de faim, de soif, de maladies sans même atteindre sa majorité et l’impossibilité de «vivre» le choix n’est pas difficile. Demandons-le à ceux qui auraient le droit de le faire et non pas à ceux qui vivent confortablement dans les cités occidentales.

Manuel GOMEZ

journaliste -écrivain

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 10:23

Vendredi 10 mai 2013510/05/Mai/201309:37

Ils sont et seront puants, aujourd'hui encore. Je n'ai pas la télévision et m'en félicite plus que jamais. Parce que la perspective de voir -et d'entendre- ces traîtres à la nation et à la civilisation occidentale que sont Hollande et Taubira cracher une fois de plus sur nos ancêtres, sur notre histoire, et attiser l'esprit de revanche et la haine contre les Français et la France dans les banlieues islamisées... non, trop peu pour moi.


On se souvient -on ne remerciera pas Chirac- que depuis 2006 on a fait du 10 mai la journée qui commémore non seulement l'abolition de l'esclavage (qui y verrait le moindre inconvénient ?) mais aussi le souvenir de l'esclavage... comme s'il fallait mettre sur le même plan le souvenir de la Shoah avec celui de l'esclavage. Ce qui est une monstruosité historique et humaine.

 

La deuxième monstruosité c'est que choisir le 10 mai est une claque donnée aux amoureux de la France puisque c'est rendre hommage à Taubira, celle qui prône la préférence pour les Guyanais en Guyane et crache sur la préférence nationale en France, celle qui, le 10 mai 2001 a fait voter une loi destinée à stigmatiser les Occidentaux pour le commerce triangulaire et à en faire un crime contre l'humanité.

 

Tout cela est monstrueux parce que, s'il ne s'agit pas de défendre ici le principe de l'esclavage, il faut rappeler que l'esclavage occidental n'a jamais été un génocide, parce que l'on ne castrait pas les esclaves - on les encourageait au contraire à fonder des familles, au contraire de l'esclavage arabo-musulman que Taubira s'est toujours refusée à dénoncer. Or, l'esclavage arabo-musulman a non seulement été partie prenante de l'esclavage occidental puisque ce sont les Arabo-musulmans qui allaient enlever les Noirs qu'ils revendaient aux Occidentaux mais, quand les esclaves étaient destinés à leur propre usage, ils castraient les hommes, tant étaient fortes et leur peur d'être cocus et leur envie de voir disparaître les non arabo-musulmans.

 

Tout cela est monstrueux, parce que, s'il faut dénoncer la mise en esclavage d'un être humain, on ne peut mettre sur le même plan l'esclavage qui est fait, pendant une certaine période historique au nom du profit, à un moment où même l'église s'interrogeait pour savoir si les Noirs avaient une âme et l'esclavage qui est défendu dans un texte sacré (le coran) et qui est un mode de vie dans des pays où l'on méprise le Noir et où l'on considère que le musulman, étant supérieur aux autres, ne peut que faire travailler les inférieurs et vivre grâce au pillage et à l'esclavage (complément de la taxe imposée aux dhimmis). On rappellera en passant que si la France est allée combattre en 1830 dans ce qui n'était pas encore l'Algérie c'était pour mettre fin aux razzias des Barbaresques sur le pourtour méditerranéen, razzias faisant la part belle aux jeunes gens enlevés afin d'en faire des esclaves.


Or, malgré la colonisation, malgré l'évolution du monde, l'esclavage demeure un fondement d'une partie des habitants des pays musulmans.

Il y a trop de faits divers qui le montrent. Comme celui-ci, cette jeune "bonne", esclave assassinée par ses maîtres au Maroc, ou l'histoire de cette jeune ivoirienne qui avait été maintenue en esclavage par son patron d'origine togolaise. Et puis on pourra évoquer les multiples témoignages sur la vie quotidienne à Abidjan, Cotonou... comme celui de Marthe, travaillant dans l'humanitaire, qui dit qu'à Lomé, par exemple, "chaque famille africaine "emploie" une "petite bonne"venue du village qui appelle "papa" et "maman" ceux qui l'exploitent pour une somme dérisoire (moins de dix euros par mois, quand cette somme est payée) et qui sont censés la soigner, la nourrir correctement et la scolariser. La plupart du temps elles sont taillables et corvéables à merci, battues et souvent violées par les mâles de la maisonnée. Cette forme de servage, ou d'esclavage, perdure dans les familles expatriées en France mais, chut, il ne faut pas trop en parler"...

On lui laissera le mot de la fin. Chut ! Des méfaits de la civilisation arabo-musulmane, il ne faut pas trop parler... par contre tapons à coups redoublés sur la nôtre. C'est de bon ton. Surtout si l'on est Président en exercice et Ministre de la Justice en France.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 09:56
Un an après l'élection à la Présidence de la République de l'ancien premier secrétaire du Parti socialiste, la France est économiquement ruinée, socialement disloquée, nationalement éparpillée, internationalement isolée et moquée, soumise aux vents
mauvais de la crise de l'Euro, de l'insécurité chronique, de la pression migratoire, de la volonté conquérante de l'Islam et entraînée comme un fétu de paille dans les tourbillons d'un monde devenu amok.

Le vrai changement, ce n'était pas celui qui était promis hier. hier. Et ce n'est pas celui dont certains parlent aujourd'hui.

Le vrai changement se fera dans la rupture avec les partis politiques usés, fatigués, vieillis. Dans la rupture avec des pratiques indignes. Dans la rupture avec la démagogie et les visées claniques.
.
L'Etat que croit diriger François Hollande depuis un an, c'est le radeau de la méduse des naufragés de la gauche et de l'extrême gauche. C'est l'impuissance de la Quatrième République, moins les tourments de la guerre terroriste algérienne, mais augmentée des mille menaces venues d'une planète en mutation accélérée et aggravée de la réalité migratoire de la France d'aujourd'hui.
Le renouveau que voudrait incarner l'actuelle opposition c'est le sourire du chat de Cheshire de Lewis Caroll qui s'éloignait au fur et à mesure que l'on croyait s'en approcher jusqu'à ce que ne subsiste plus de lui qu'une trace figée aux milieu des arbres.

La Sixième République que réclame à hauts cris Jean-Luc Mélenchon, c' est la République des soviets version light mêlée de celles de Chavez et d'Allende version melting pot.

La France que prétend imposer Marine Le Pen, c'est la France égarée dans les fantasmes étatiques, l'incohérence institutionnelle, la confusion identitaire et l'irresponsabilité internationale.

La France que nous voulons quant à nous c'est la France de libertés mais aussi de la fermeté, de la bienveillance mais aussi de l'autorité, de l'humanisme mais aussi de la détermination, de la justice mais aussi de la volonté d'accomplir.

la République que nous voulons refonder, c'est une République debout aux institutions retrouvées, aux symboles respectés, à l'édifice reconstitué.

L'Etat qu'il nous faut reconstruire, c'est l'Etat sur de lui même dans ses devoirs régaliens mais soucieux des libertés économiques, publiques et individuelles.

Notre France retrouvée à nouveau unie, authentiquement démocratique et populaire, sera fière d'elle même, de son Histoire et de son présent, capable de retrouver en elle même la force de renouer avec son destin.

Car ce sera enfin une France GOUVERNEE.

Jean-François Touzé
Président des Nouveaux Républicains
 
 
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