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  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
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chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

                                                    ------------------------------00000000000000000-----------------------------------------




 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



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TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

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DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:32

Communiqué de Jean-François Touzé, Président des Nouveaux Républicains

Sans surprise, la loi de finances pour 2014 dont le gouvernement vient de présenter avec quinze jours d'avance, les grandes lignes, est SOCIALISTE.
Avec ses économies en trompe l'oeil, ses faux cadeaux aux entreprises son vrai
renforcement de la rigidité du travail et une nouvelle hausse des prélèvements à hauteur de 3 milliards d'euros auquel il convient d'ajouter 6,4 milliards de hausse de la TVA et les compensations inévitables des dispositifs dont le rendement arrive à échéance ( 6 milliards), le budget 2014, loin d' être marqué par la "pause fiscale" promise par Hollande, enferme un peu plus la France derrière les verrous du fiscalisme et de la bureaucratie socialiste.
Dans le même temps, L'INSEE nous apprend que 140 000 emplois ont été détruits en un an, depuis l'arrivée de la gauche au pouvoir.

La gauche, aujourd'hui, comme hier, c'est la ruine!

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 16:44

.

Une crise mondiale systémique déstabilise un pays.

Mais quand ce pays est dirigé par des incompétents obnubilés par le pouvoir personnel, ça devient incontrôlable.

Et si en plus ces incompétents se la jouent matamor de cour de récré comme Valls, guidée par ses « idées grandioses » comme Taubira, par ses obsessions syriennes comme Fabius ou menée par sa « gueule » comme Duflot (1), se contredisent les uns les autres, se disputent, s’opposent alors qu’ils sont de la même sensibilité, jouent les polices politiques et s’accusent de dissidence idéologique, tout cela dans le silence assourdissant du président aux pleins pouvoirs et d’un premier ministre atone, on finit par se dire que le pouvoir est vacant .

Et on finit par penser que si le chef de l’Etat ne se décide pas à mettre un coup de pied dans cette fourmilière, à virer tous ces clowns qui vivent à nos crochets et passent leur temps au bout de 15 mois à encore pondre des dossiers et faire des réunions au lieu d’être dans l’action, si toute cette clique ne dégage pas, tous ces ministres qui font gerber les Français par leurs manipulations, par leurs mensonges, par leurs priorités d’un autre monde et d’un autre âge ( renforcer l’EN, mariage gay, fermeture de prisons, inversion des valeurs …), si le président élu ne se décide pas à faire son travail, c’est à dire diriger, s’il continue à privilégier la balade digestive en pédalo du dimanche, c’est le peuple français qui va finir par prendre les décisions qui s’imposent…..

Alors, y-a-t-il un chef dans ce pays ? pas un capitaine de navire, pas un pilote d’avion, pas un homme normal, non tout simplement un président de la république qui au lieu de nous enfumer avec de l’actu people politique, se décidait à parler aux Français avec respect en disant clairement que la situation économique est désespérée, que tout le monde doit se retrousser les manches, que l’état providence c’est fini et que la racaille va être mise au pas, s’il disait cela au lieu de donner l’impression de crever de peur ?

(1) »Aujourd’hui, une ministre ça agit, ça ouvre sa gueule et ça ne démissionne pas » : Duflot n’a trouvé que cela pour tenter de justifier à ses électeurs fileurs de laine de mouton qu’elle s’accroche à une place ou elle ne sert manifestement à rien d’autre qu’à se compromettre.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 11:10

80 000 suppressions en moins de 10 ans

Alors que le nombre de jeunes au chômage ne cesse de croître, les armées sont contraintes de diminuer leurs effectifs au prétexte de la situation catastrophique de nos finances publiques. Hélas, dans ce domaine, alors que la part du budget de l’Etat consacrée à la Défense a été divisée par deux en moins de 30 ans, aucune amélioration ne s’est produite, bien au contraire.

Déjà, une réduction de 44 000 hommes a été réalisée au cours des 4 dernières années. Le Livre blanc de 2013 prévoit la poursuite des suppressions programmées antérieurement, soit un « reliquat » de 10 000 hommes, et en annonce 24 000 de plus ! Ce seront donc près de 80 000 hommes, c'est-à-dire le ¼ des effectifs de l’armée professionnelle, qui aura disparu en moins de 10 ans pour, paraît-il, s’adapter et mieux faire face aux nouvelles menaces dans l’avenir !

L'esprit militaire dilué

Ces coupes claires touchent en priorité des jeunes militaires sous contrat à durée déterminée qui sont remplacés par des civils bénéficiant du statut de fonctionnaire, à moins que leurs tâches ne soient externalisées et confiées à des entreprises civiles.

Ainsi, inexorablement, l’armée se démilitarise et s’affaiblit sous le double effet de la réduction massive et continue de ses effectifs et du transfert de nombre de ses tâches « de soutien » à des non militaires. Les unités opérationnelles sont progressivement noyées dans un environnement fonctionnarisé et souvent syndiqué où les notions de disponibilité immédiate et d’engagement opérationnel n’ont pas le même sens

Des conflits toujours plus long

Comment justifier ces nouvelles réductions dans le budget de la Défense, alors que les menaces se multiplient dans nos zones d’intérêts stratégiques et que notre pays se trouve fragilisé par une perte de cohésion et une insécurité croissantes ?

Qui ne voit que tous les conflits dans lesquels la France est actuellement engagée s’inscrivent dans la durée : 35 ans au Liban, plus de 20 ans dans les Balkans et 10 années en Afghanistan ? Combien de temps resterons-nous au Mali ? Nous savons qu’il ne peut y avoir de stabilité dans ce pays sans la présence de forces françaises d’autant que la rivalité nord-sud dans la bande sahélienne n’est pas prête de disparaître !

Des opérations "plus lourdes"

Faut-il rappeler que s’il fallait 300 hommes en 1960 pour régler une crise dans un « pays du champ », il en fallait 3 000 au Tchad, 10 ans plus tard, et près de 5 000, aujourd’hui, au Mali, sans compter nos alliés tchadiens, européens et américains, face à un adversaire qui, pour une part, a refusé le combat et s’est évanoui dans les pays limitrophes !

Or, comme on le voit en Libye, il n’y a pas de solution politique possible à une crise sans engagement au sol pour contrôler les milieux géographique et humain.

Des forces pré-positionnées à renforcer

Dans le cadre d’une stratégie de prévention des crises en Afrique subsaharienne et compte tenu des distances importantes qui nous en séparent, ne faut-il pas accroître le nombre de nos implantations militaires dans cette région ? Il y aurait à cela au moins trois avantages : dissuader les tentatives de prise de pouvoir par la force de quelques rebelles ou miliciens, réduire les délais d’intervention et les besoins en capacité de projection et, enfin, permettre aux forces françaises d’avoir une connaissance approfondie du terrain et des forces locales avec lesquelles elles s’entraîneraient plus fréquemment.

La mise en place d’un tel dispositif nécessiterait de nouveaux effectifs déployés sur le terrain.

Des forces spéciales à préserver

Enfin, comment peut-on augmenter les effectifs des forces spéciales tout en réduisant le vivier dans lequel se fait l’essentiel de leur recrutement, c’est-à-dire les forces conventionnelles, sans abaisser leur niveau de sélection et donc leur qualité ?

Par ailleurs, tout chef militaire sait que des forces spéciales, agissant avec de faibles effectifs et sans moyens lourds, ne peuvent remplir les missions des forces conventionnelles engagées sur une vaste zone et pendant plusieurs mois de manière autonome.

Armées : danger d'implosion

Les capacités des armées sont très diversifiées et complémentaires mais chacune d’elle atteint maintenant un niveau d’échantillon. C’est très visible pour la Marine et l’armée de l’Air dont les matériels ne peuvent être confondus (sous-marins et frégates, Rafale et Transall).Mais pour l’armée de Terre, combien savent qu’elle ne compte plus aujourd’hui que 8 brigades « de combat », interarmes dont 2 sont blindées, 2 mécanisées, 2 à vocation amphibie, 2 légères : une de montagne et une parachutiste.

La dissolution annoncée de l’une d’entre elles, menace l’équilibre précaire de nos capacités de projection et de relève de nos forces.

L’impasse vers laquelle nous nous précipitons en matière de Défense est-elle vraiment dans l’esprit de la 60ème proposition du candidat devenu président de la République :

« Je veillerai à ce que les armées disposent des moyens de leur mission et d’une organisation performante»?

Rédaction de l’ASAF - (www.asafrance.fr)

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 10:58

Bachar El Assad n’aurait pas ordonné l’attaque chimique du 21 août. Cet ordre aurait été donné par de hauts dignitaires de son armée qui « réclament régulièrement depuis environ quatre mois des attaques chimiques au palais présidentiel à Damas, (mais) ces demandes ont été toujours refusées, et l’attaque du 21 août n’a vraisemblablement pas été approuvée personnellement par Bachar el-Assad », rapporte le Bild.

Un autre scénario? On ne peut pas abattre l’homme donc on le coupe de son armée, on affaiblit son autorité et son pouvoir ? Ce nouveau scénario qui se profile, ou la « punition » n’est plus personnelle, contre un homme, mais dédramatisée et déshumanisée, contre l’armée, a -t-elle plus de chance de convaincre les Français ? Je ne pense pas.

Les partisans de l’intervention contre la Syrie semblent adopter une autre tactique : Tous les services secrets vont y aller maintenant de leurs révélations, vont « déclassifier » à tour de bras. La France, la Grande Bretagne et les USA n’étant plus crédibles, l’Allemagne s’y colle. Le Canada, l’Espagne ou l’Italie vont-ils bientôt nous donner le nom de ce haut dignitaire syrien qui aurait outrepassé les décisions de Bachar El Assad ? Son plus proche et fidèle conseiller par exemple?

Par ailleurs, nous apprenons par Le Point que « la sanglante guerre civile en Syrie « pourrait encore durer des années », « que l’influence d’al-Qaida au sein de la rébellion grandissait rapidement. », et que « L’Armée syrienne libre, soutenue par l’Occident, aurait perdu le contrôle militaire, et le flot de déserteurs de l’armée régulière la rejoignant serait désormais nul, notamment parce que les forces proches d’al-Qaida fusilleraient ces derniers. »

Tout ceci confirme que nous sommes sur le point d’aider militairement Al Qaeda au lieu de soutenir un gouvernement qui lutte contre lui.

A quoi donc ont servi la mort de nos soldats en Afghanistan ? Nous y étions pour détruire Al Qaeda, nous risquons d’aller maintenant en Syrie pour les mettre au pouvoir.

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 15:34
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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 16:54

De François Fillon :

L’usage d’armes chimiques constitue une violation inadmissible, non seulement du droit international mais aussi des principes de la simple humanité. Je mesure à cet égard les préoccupations du Président de la République, et je ne suis aucunement disposé à faire du débat actuel l’objet d’une querelle politique interne. Autour du drame syrien s’entremêlent éthique et géopolitique, cœur et raison. Trancher est complexe.

Nous ne sommes ni en Libye, ni au Mali. La Syrie est déchirée par une guerre civile et confessionnelle qui ne se réduit pas exclusivement à la dictature implacable exercée par le régime de Bachar el-Assad. La région est une poudrière qui peut enflammer le Liban, menacer Israël et l’Europe, alimenter dans le monde arabe le conflit entre sunnites, chiites et chrétiens. Agir militairement, c’est donc prendre un risque élevé avec des conséquences qui peuvent se révéler très lourdes. Il faut le savoir et le dire au peuple français qui ne doit pas être bercé dans l’illusion d’une opération éclair et sans suites.

Peut-on cependant, si les faits et les auteurs de ce massacre chimique sont incontestablement avérés et désignés, « regarder ailleurs » ? Ne risque-t-on pas, en s’abstenant, de laisser les coupables renouveler leur crime ? Ne risque-t-on pas aussi de légitimer pour l’avenir, dans une région dangereuse, l’usage de telles armes ? En détournant les yeux, la communauté internationale ne risque-t-elle pas d’encourager l’interdit, dont l’accès aux armes de destructions massives, iranienne par exemple ?

Oui, je mesure les enjeux et les questions qui tiraillent le Président de la République, mais il y a eu des erreurs.

La première erreur a été d’envisager une « action de force » sans en avoir défini ou arrêté précisément les modalités. Dans les derniers jours, cet entraînement irréfléchi a conduit à soutenir l’idée d’une intervention militaire franco-américaine conduite hors des règles de la charte des nations unies. Mais le droit de la guerre proscrit précisément ce type d’action, sauf dans le cas de la légitime défense. On ne peut pas à la fois vouloir réprimer une atteinte au droit international et s’affranchir de toutes les règles pour y parvenir. C’est aussi faire peu de cas des conséquences éventuelles dans la région d’une intervention aussi unilatérale et d’une « occidentalité » si marquée.

La seconde erreur tient au contraste qui existe entre la violation du droit international que François Hollande envisage de commettre et le flou de ses objectifs. Il s’agirait de « sanctionner », de « punir » le président syrien. Mais après… Que veut-on à la fin ? Renverser Bachar el-Assad ou le dissuader de franchir des « lignes rouges » ? Sa neutralisation où la victoire des rebelles ? Sa défaite totale ou la négociation ? L’affaire syrienne demande une vision précise des buts politiques à atteindre. Aujourd’hui, ils font défaut.

La troisième erreur a été de se glisser si vite dans la roue des Etats Unis et de se laisser placer dans une situation où, au fond, les parlementaires américains paraissent seuls susceptibles, par leur président interposé, de motiver l’intervention française. Elle est là, l’atteinte à la souveraineté nationale, bien plus que dans un vote des parlementaires français sur une décision très grave, dans les faits comme dans le principe. Le Chef de l’Etat et chef des armées doit évidemment conserver le pouvoir d’engager l’action militaire dans les formes prévues par l’article 35 de la Constitution. Il y a là un gage d’efficacité qui a fait ses preuves et fait de nous l’un des derniers Etats sur lesquels on puisse immédiatement compter dans les cas graves. Mercredi, le Parlement est informé. L’absence d’un vote est compréhensible car tous les paramètres ne sont pas encore connus. Mais je crois que François Hollande ne pourra pas s’abstenir de faire délibérer la représentation nationale lorsqu’ils seront tous connus : qui est responsable selon l’ONU ? qui est prêt à intervenir ? pour quels buts diplomatiques et militaires ?

J’entends qu’il serait possible de s’affranchir de l’ONU. Ce raisonnement me paraît irresponsable. Se passer de l’ONU créerait un précédent dangereux, susceptible d’être invoqué à notre détriment lorsqu’un jour des Etats qui ne sont pas nécessairement nos alliés auront décidé de prendre des initiatives unilatérales dans ce qu’ils définissent comme leur zone d’influence. Le système de l’ONU n’est pas parfait mais il n’en existe pas d’autre !

C’est la raison pour laquelle toute éventuelle action militaire passe d’abord par la remise du rapport des inspecteurs de l’ONU, établissant les responsabilités – à laquelle ne saurait se substituer la diffusion de « notes » des services secrets français ou américains.

Sur la base de ce rapport, la France doit prendre l’initiative d’une résolution pour faire délibérer le conseil de sécurité, après avoir rendu responsables, dans tous les sens de ce terme, les Etats qui soutiennent Bachar el-Assad. Au premier chef la Russie, qui, s’étant attribué le rôle de protecteur de ce régime, doit également en assumer les conséquences, c’est-à-dire jouer le rôle qu’on attend d’elle dans le concert des nations.

Parallèlement, j’attends du Président de la République qu’il réclame la convocation sans délai d’un conseil européen car la voix de l’Europe est inexistante, indigne de son rang.

Voilà les conditions qui, selon moi, doivent être remplies avant toute éventuelle intervention militaire. Sans elles, toute opération serait à mon sens une lourde faute. Monsieur le Président, attention !

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2 septembre 2013 1 02 /09 /septembre /2013 14:41

Nous relatons ici la vidéo et retranscrivons en français le commentaire en arabe de la journaliste Zahra’ Dirâni de la chaîne libanaise al-Mayadeen qui présente cette vidéo sous-titrée : « Les enfants de Syrie, une nouvelle génération de kamikazes en formation. Des camps spéciaux créés par des groupes armés pour entraîner les enfants et les préparer à des missions-suicide ».

http://www.almayadeen.net/ar/news/syria-UiNw4E_hm0On,aInAQLXNQ/أطفال-سورية-جيل-جديد-من-الإنتحاريين

Transcription ci-dessous du commentaire off de la video que l'on peut voir dans le lien ci-dessus.

Un instructeur exhorte les enfants par le début d’un verset du Coran : « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Alla, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, et bien pourvus. (Âl ‘Omrane 3 : 169) » Les enfants poursuivent ensuite la fin du verset. Puis, l’instructeur, en criant « takbîr » (تكبير ) leur fait crier l’invocation « Allahou Akbar » (Allah est Grand) avec, en off, un chant de guerre du jihad islamique …

« Ils entrent, enfants, dans des camps de groupes armés qui en font des kamikazes.

Il n’est pas possible d’établir le nombre des enfants embrigadés dans ces camps mais une source syrienne de l’opposition a révélé que c’est parmi ces jeunes que les kamikazes sont choisis avec grand soin. Lors du choix, leurs conditions de vie sont scrutées. On préfère habituellement ceux qui ont perdu leur famille ou un membre de leur famille. Celui qui est choisi est transféré dans un centre spécial où il est soumis à une manipulation psychologique. Il est maintenu isolé pendant de longues périodes afin de fixer en lui l’idée [du suicide pour lequel il a été sélectionné]. Quand il est prêt, on lui fixe une mission qui correspond à son profil.

Le Front al-Nousra est considéré comme le premier des groupes rigoristes qui ait adopté, depuis deux ans, le concept des opérations-suicide en Syrie. Mais l’organisation Ra’d, de formation récente connaît plus le sujet, est plus expérimentée dans ce genre d’opérations. Ses combattants établissent des comparaisons entre les kamikazes, en commençant par l’enfance. Ils profitent de l’expérience acquise en Afghanistan et en Irak et de la situation de désordre que vit la société syrienne qui manque de toutes les apparences d’une vie civile ordinaire, des services de tous genres et tout particulièrement de l’enseignement.

Les écoles en Syrie ont été transformées en casernes. On y prépare les enfants à devenir des outils pour tuer. Un rapport élaboré par le Centre Syrien d’Études Politiques avec la collaboration de l’UNRWA (United Nations Relief and Works Agency) révèle que 5.000 écoles ont arrêté de fonctionner et que la plupart sont transformées en camps militaires.

C’est donc la guerre qui ne porte en son sein que des catastrophes, ne met au monde qu’une génération vouée à la mort. »

Cet asservissement est absolument dramatique : ces enfants formés en grand nombre, qui devraient se tourner vers la vie, sont orientés vers la mort et pour donner la mort. Ceux qui ne sont pas sélectionnés pour agir sur place seront-ils exportés en Occident ? (NDT)

Transcription et traduction de l’arabe

Bernard Dick

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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 18:04

Immigration

La France a intégré depuis des siècles des générations d’étrangers qui lui ont apporté leur énergie et leur force de travail. Aujourd’hui, les conditions économiques et sociales commandent de réduire au minimum le flux de l’immigration. Je propose que soit voté chaque année, par le Parlement, le nombre de migrants que nous pouvons accueillir sur notre territoire, les compétences dont nous avons besoin et les régions du monde vers lesquelles nous souhaitons nous tourner.

Pour moi, la citoyenneté est l’expression d’une adhésion à la Nation. Je propose de mettre fin à l’automaticité de l’acquisition de la nationalité pour les enfants nés en France de parents étrangers. Il faut que la naturalisation procède d’une manifestation de volonté, pour que chacun comprenne qu’elle comporte des droits et des devoirs.

Notre République pourra se montrer d’autant plus généreuse qu’elle sera ferme sur ses principes. Parce que chacun doit faire ses preuves, je propose de réserver l’accès aux prestations sociales aux migrants légaux présents depuis plusieurs années sur notre territoire.

PS : Je ne sais pas si cette proposition verra le jour, mais elle a au moins le mérite d'être exposée par son auteur. En cela j'adhère pleinement à ce projet.

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 15:25

Marseille: une seule solution, la répression!

 

Par Jean-François Touzé, Président des Nouveaux Républicains

Avec le énième déplacement à Marseille de la grande caravane ministérielle et l'annonce de renforts policiers dont une compagnie supplémentaire de CRS, les confins du ridicule, de l'insupportable et du grotesque sont désormais largement atteints. Il est vrai que, comme le disait Pierre Dac, "quand les bornes sont dépassées, il n'y a plus de limites".

Pour éradiquer enfin la délinquance marseillaise, en finir avec les règlements de compte entre tribus rivales et rétablir l'ordre dans la cité phocéenne, une seule solution:

Investir les cités en donnant aux forces de l'ordre les moyens matériels et moraux de remplir cette mission, procéder aux nécessaires perquisitions systématiques et aux interpellations immédiates, expulser en urgence tous les clandestins, arrêter les caïds mais aussi les exécutants, les déférer et les faire condamner avec sévérité en mobilisant l'ensemble de l'arsenal judiciaire, en le renforçant par ailleurs par toutes lois nouvelles susceptibles de permettre l'anéantissement de la menace sécessionniste de la pègre des quartiers.

Il y a là une urgence qui, relevant non seulement de la sécurité des marseillais mais aussi du salut publicet de l'avenir de la République, n'autorise plus aucune procrastination ni aucune faiblesse.

Seul un gouvernement d'autorité et de fermeté sans laquelle il n'existe pas de libertés durables,un gouvernement soucieux de l'intérêt national et de la pérennité républicaine, capable de refuser le chantage à l'émeute, sera en mesure de prendre de telles décisions, d'en imposer les mesures, et de faire face à leurs conséquences en termes de critiques de la gauche et de l'extrême gauche.

Ce gouvernement, nous voulons contribuer à en permettre la mise en place le plus tôt possible autour de celui qui sera en mesure de rassembler la droite, de mobiliser la nation et de dire non au fatalisme.
 

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20 août 2013 2 20 /08 /août /2013 09:56

 

Par Jean-François Touzé, Président des Nouveaux Républicains

Réuni ce lundi en séminaire à l'Elysée autour de François Hollande, le gouvernement est censé - exercice où le grotesque le dispute au surréalisme- dessiner les contours de ce que pourrait être la France à l'horizon 2025.

Nul besoin pourtant de recourir à la boule de cristal socialiste pour savoir ce qui attend notre pays à l'échéance de douze ans.

Soit les choses continuent, persistent, perdurent et, enfermée dans ses camisoles fiscales, administratives et réglementaires, minée par une insécurité galopante et exponentielles, sapée à sa base par une immigration incontrôlée et massive, anémiée par ses communautarismes et ses antagonismes qui sont la négation de la République, menacée par le terrorisme, l'hégémonie islamiste et l'implacable développement démographique du tiers monde, livrée aux menaces extérieures par la dégradation de ses capacités militaires et aux menaces internes par la destruction de ses cellules immunitaires, la France de défera peu à peu jusque à devenir, dans un flot de sang, le Liban de l'Europe.

Soit, par un sursaut national venu du plus profond de notre Histoire, les Français décident de remonter la pente et de se doter des moyens d'une reconquête à la fois morale, politique, économique et sociale, en refondant l'Etat et en reconstruisant son autorité, en redéfinissant les contours de nos libertés et en réaffirmant que l'humanisme dont sommes imprégnés ne peut vivre sans la fermeté qui en est le rempart, et nous redeviendrons ce que nous n 'aurions jamais du cesser d'être: une lumière au milieu des nations projetant la grande idée républicaine française sur l'écran du destin planétaire.
 

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