Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662
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Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent
européen, le Dhimmi Show.
Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un
traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.
A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de
janvier.
Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :
« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »
Une crise mondiale systémique déstabilise un pays.
Mais quand ce pays est dirigé par des incompétents obnubilés par le pouvoir personnel, ça devient incontrôlable.
Et si en plus ces incompétents se la jouent matamor de cour de récré comme Valls, guidée par ses « idées grandioses » comme Taubira, par ses obsessions syriennes comme Fabius ou menée par sa « gueule » comme Duflot (1), se contredisent les uns les autres, se disputent, s’opposent alors qu’ils sont de la même sensibilité, jouent les polices politiques et s’accusent de dissidence idéologique, tout cela dans le silence assourdissant du président aux pleins pouvoirs et d’un premier ministre atone, on finit par se dire que le pouvoir est vacant .
Et on finit par penser que si le chef de l’Etat ne se décide pas à mettre un coup de pied dans cette fourmilière, à virer tous ces clowns qui vivent à nos crochets et passent leur temps au bout de 15 mois à encore pondre des dossiers et faire des réunions au lieu d’être dans l’action, si toute cette clique ne dégage pas, tous ces ministres qui font gerber les Français par leurs manipulations, par leurs mensonges, par leurs priorités d’un autre monde et d’un autre âge ( renforcer l’EN, mariage gay, fermeture de prisons, inversion des valeurs …), si le président élu ne se décide pas à faire son travail, c’est à dire diriger, s’il continue à privilégier la balade digestive en pédalo du dimanche, c’est le peuple français qui va finir par prendre les décisions qui s’imposent…..
Alors, y-a-t-il un chef dans ce pays ? pas un capitaine de navire, pas un pilote d’avion, pas un homme normal, non tout simplement un président de la république qui au lieu de nous enfumer avec de l’actu people politique, se décidait à parler aux Français avec respect en disant clairement que la situation économique est désespérée, que tout le monde doit se retrousser les manches, que l’état providence c’est fini et que la racaille va être mise au pas, s’il disait cela au lieu de donner l’impression de crever de peur ?
(1) »Aujourd’hui, une ministre ça agit, ça ouvre sa gueule et ça ne démissionne pas » : Duflot n’a trouvé que cela pour tenter de justifier à ses électeurs fileurs de laine de mouton qu’elle s’accroche à une place ou elle ne sert manifestement à rien d’autre qu’à se compromettre.
80 000 suppressions en moins de 10 ans
Alors que le nombre de jeunes au chômage ne cesse de croître, les armées sont contraintes de diminuer leurs effectifs au prétexte de la situation catastrophique de nos finances publiques. Hélas, dans ce domaine, alors que la part du budget de l’Etat consacrée à la Défense a été divisée par deux en moins de 30 ans, aucune amélioration ne s’est produite, bien au contraire.
Déjà, une réduction de 44 000 hommes a été réalisée au cours des 4 dernières années. Le Livre blanc de 2013 prévoit la poursuite des suppressions programmées antérieurement, soit un « reliquat » de 10 000 hommes, et en annonce 24 000 de plus ! Ce seront donc près de 80 000 hommes, c'est-à-dire le ¼ des effectifs de l’armée professionnelle, qui aura disparu en moins de 10 ans pour, paraît-il, s’adapter et mieux faire face aux nouvelles menaces dans l’avenir !
L'esprit militaire dilué
Ces coupes claires touchent en priorité des jeunes militaires sous contrat à durée déterminée qui sont remplacés par des civils bénéficiant du statut de fonctionnaire, à moins que leurs tâches ne soient externalisées et confiées à des entreprises civiles.
Ainsi, inexorablement, l’armée se démilitarise et s’affaiblit sous le double effet de la réduction massive et continue de ses effectifs et du transfert de nombre de ses tâches « de soutien » à des non militaires. Les unités opérationnelles sont progressivement noyées dans un environnement fonctionnarisé et souvent syndiqué où les notions de disponibilité immédiate et d’engagement opérationnel n’ont pas le même sens
Des conflits toujours plus long
Comment justifier ces nouvelles réductions dans le budget de la Défense, alors que les menaces se multiplient dans nos zones d’intérêts stratégiques et que notre pays se trouve fragilisé par une perte de cohésion et une insécurité croissantes ?
Qui ne voit que tous les conflits dans lesquels la France est actuellement engagée s’inscrivent dans la durée : 35 ans au Liban, plus de 20 ans dans les Balkans et 10 années en Afghanistan ? Combien de temps resterons-nous au Mali ? Nous savons qu’il ne peut y avoir de stabilité dans ce pays sans la présence de forces françaises d’autant que la rivalité nord-sud dans la bande sahélienne n’est pas prête de disparaître !
Des opérations "plus lourdes"
Faut-il rappeler que s’il fallait 300 hommes en 1960 pour régler une crise dans un « pays du champ », il en fallait 3 000 au Tchad, 10 ans plus tard, et près de 5 000, aujourd’hui, au Mali, sans compter nos alliés tchadiens, européens et américains, face à un adversaire qui, pour une part, a refusé le combat et s’est évanoui dans les pays limitrophes !
Or, comme on le voit en Libye, il n’y a pas de solution politique possible à une crise sans engagement au sol pour contrôler les milieux géographique et humain.
Des forces pré-positionnées à renforcer
Dans le cadre d’une stratégie de prévention des crises en Afrique subsaharienne et compte tenu des distances importantes qui nous en séparent, ne faut-il pas accroître le nombre de nos implantations militaires dans cette région ? Il y aurait à cela au moins trois avantages : dissuader les tentatives de prise de pouvoir par la force de quelques rebelles ou miliciens, réduire les délais d’intervention et les besoins en capacité de projection et, enfin, permettre aux forces françaises d’avoir une connaissance approfondie du terrain et des forces locales avec lesquelles elles s’entraîneraient plus fréquemment.
La mise en place d’un tel dispositif nécessiterait de nouveaux effectifs déployés sur le terrain.
Des forces spéciales à préserver
Enfin, comment peut-on augmenter les effectifs des forces spéciales tout en réduisant le vivier dans lequel se fait l’essentiel de leur recrutement, c’est-à-dire les forces conventionnelles, sans abaisser leur niveau de sélection et donc leur qualité ?
Par ailleurs, tout chef militaire sait que des forces spéciales, agissant avec de faibles effectifs et sans moyens lourds, ne peuvent remplir les missions des forces conventionnelles engagées sur une vaste zone et pendant plusieurs mois de manière autonome.
Armées : danger d'implosion
Les capacités des armées sont très diversifiées et complémentaires mais chacune d’elle atteint maintenant un niveau d’échantillon. C’est très visible pour la Marine et l’armée de l’Air dont les matériels ne peuvent être confondus (sous-marins et frégates, Rafale et Transall).Mais pour l’armée de Terre, combien savent qu’elle ne compte plus aujourd’hui que 8 brigades « de combat », interarmes dont 2 sont blindées, 2 mécanisées, 2 à vocation amphibie, 2 légères : une de montagne et une parachutiste.
La dissolution annoncée de l’une d’entre elles, menace l’équilibre précaire de nos capacités de projection et de relève de nos forces.
L’impasse vers laquelle nous nous précipitons en matière de Défense est-elle vraiment dans l’esprit de la 60ème proposition du candidat devenu président de la République :
« Je veillerai à ce que les armées disposent des moyens de leur mission et d’une organisation performante»?
Rédaction de l’ASAF - (www.asafrance.fr)
Bachar El Assad n’aurait pas ordonné l’attaque chimique du 21 août. Cet ordre aurait été donné par de hauts dignitaires de son armée qui « réclament régulièrement depuis environ quatre mois des attaques chimiques au palais présidentiel à Damas, (mais) ces demandes ont été toujours refusées, et l’attaque du 21 août n’a vraisemblablement pas été approuvée personnellement par Bachar el-Assad », rapporte le Bild.
Un autre scénario? On ne peut pas abattre l’homme donc on le coupe de son armée, on affaiblit son autorité et son pouvoir ? Ce nouveau scénario qui se profile, ou la « punition » n’est plus personnelle, contre un homme, mais dédramatisée et déshumanisée, contre l’armée, a -t-elle plus de chance de convaincre les Français ? Je ne pense pas.
Les partisans de l’intervention contre la Syrie semblent adopter une autre tactique : Tous les services secrets vont y aller maintenant de leurs révélations, vont « déclassifier » à tour de bras. La France, la Grande Bretagne et les USA n’étant plus crédibles, l’Allemagne s’y colle. Le Canada, l’Espagne ou l’Italie vont-ils bientôt nous donner le nom de ce haut dignitaire syrien qui aurait outrepassé les décisions de Bachar El Assad ? Son plus proche et fidèle conseiller par exemple?
Par ailleurs, nous apprenons par Le Point que « la sanglante guerre civile en Syrie « pourrait encore durer des années », « que l’influence d’al-Qaida au sein de la rébellion grandissait rapidement. », et que « L’Armée syrienne libre, soutenue par l’Occident, aurait perdu le contrôle militaire, et le flot de déserteurs de l’armée régulière la rejoignant serait désormais nul, notamment parce que les forces proches d’al-Qaida fusilleraient ces derniers. »
Tout ceci confirme que nous sommes sur le point d’aider militairement Al Qaeda au lieu de soutenir un gouvernement qui lutte contre lui.
A quoi donc ont servi la mort de nos soldats en Afghanistan ? Nous y étions pour détruire Al Qaeda, nous risquons d’aller maintenant en Syrie pour les mettre au pouvoir.
L’usage d’armes chimiques constitue une violation inadmissible, non seulement du droit international mais aussi des principes de la simple humanité. Je mesure à cet égard les préoccupations du Président de la République, et je ne suis aucunement disposé à faire du débat actuel l’objet d’une querelle politique interne. Autour du drame syrien s’entremêlent éthique et géopolitique, cœur et raison. Trancher est complexe.
Nous ne sommes ni en Libye, ni au Mali. La Syrie est déchirée par une guerre civile et confessionnelle qui ne se réduit pas exclusivement à la dictature implacable exercée par le régime de Bachar el-Assad. La région est une poudrière qui peut enflammer le Liban, menacer Israël et l’Europe, alimenter dans le monde arabe le conflit entre sunnites, chiites et chrétiens. Agir militairement, c’est donc prendre un risque élevé avec des conséquences qui peuvent se révéler très lourdes. Il faut le savoir et le dire au peuple français qui ne doit pas être bercé dans l’illusion d’une opération éclair et sans suites.
Peut-on cependant, si les faits et les auteurs de ce massacre chimique sont incontestablement avérés et désignés, « regarder ailleurs » ? Ne risque-t-on pas, en s’abstenant, de laisser les coupables renouveler leur crime ? Ne risque-t-on pas aussi de légitimer pour l’avenir, dans une région dangereuse, l’usage de telles armes ? En détournant les yeux, la communauté internationale ne risque-t-elle pas d’encourager l’interdit, dont l’accès aux armes de destructions massives, iranienne par exemple ?
Oui, je mesure les enjeux et les questions qui tiraillent le Président de la République, mais il y a eu des erreurs.
La première erreur a été d’envisager une « action de force » sans en avoir défini ou arrêté précisément les modalités. Dans les derniers jours, cet entraînement irréfléchi a conduit à soutenir l’idée d’une intervention militaire franco-américaine conduite hors des règles de la charte des nations unies. Mais le droit de la guerre proscrit précisément ce type d’action, sauf dans le cas de la légitime défense. On ne peut pas à la fois vouloir réprimer une atteinte au droit international et s’affranchir de toutes les règles pour y parvenir. C’est aussi faire peu de cas des conséquences éventuelles dans la région d’une intervention aussi unilatérale et d’une « occidentalité » si marquée.
La seconde erreur tient au contraste qui existe entre la violation du droit international que François Hollande envisage de commettre et le flou de ses objectifs. Il s’agirait de « sanctionner », de « punir » le président syrien. Mais après… Que veut-on à la fin ? Renverser Bachar el-Assad ou le dissuader de franchir des « lignes rouges » ? Sa neutralisation où la victoire des rebelles ? Sa défaite totale ou la négociation ? L’affaire syrienne demande une vision précise des buts politiques à atteindre. Aujourd’hui, ils font défaut.
La troisième erreur a été de se glisser si vite dans la roue des Etats Unis et de se laisser placer dans une situation où, au fond, les parlementaires américains paraissent seuls susceptibles, par leur président interposé, de motiver l’intervention française. Elle est là, l’atteinte à la souveraineté nationale, bien plus que dans un vote des parlementaires français sur une décision très grave, dans les faits comme dans le principe. Le Chef de l’Etat et chef des armées doit évidemment conserver le pouvoir d’engager l’action militaire dans les formes prévues par l’article 35 de la Constitution. Il y a là un gage d’efficacité qui a fait ses preuves et fait de nous l’un des derniers Etats sur lesquels on puisse immédiatement compter dans les cas graves. Mercredi, le Parlement est informé. L’absence d’un vote est compréhensible car tous les paramètres ne sont pas encore connus. Mais je crois que François Hollande ne pourra pas s’abstenir de faire délibérer la représentation nationale lorsqu’ils seront tous connus : qui est responsable selon l’ONU ? qui est prêt à intervenir ? pour quels buts diplomatiques et militaires ?
J’entends qu’il serait possible de s’affranchir de l’ONU. Ce raisonnement me paraît irresponsable. Se passer de l’ONU créerait un précédent dangereux, susceptible d’être invoqué à notre détriment lorsqu’un jour des Etats qui ne sont pas nécessairement nos alliés auront décidé de prendre des initiatives unilatérales dans ce qu’ils définissent comme leur zone d’influence. Le système de l’ONU n’est pas parfait mais il n’en existe pas d’autre !
C’est la raison pour laquelle toute éventuelle action militaire passe d’abord par la remise du rapport des inspecteurs de l’ONU, établissant les responsabilités – à laquelle ne saurait se substituer la diffusion de « notes » des services secrets français ou américains.
Sur la base de ce rapport, la France doit prendre l’initiative d’une résolution pour faire délibérer le conseil de sécurité, après avoir rendu responsables, dans tous les sens de ce terme, les Etats qui soutiennent Bachar el-Assad. Au premier chef la Russie, qui, s’étant attribué le rôle de protecteur de ce régime, doit également en assumer les conséquences, c’est-à-dire jouer le rôle qu’on attend d’elle dans le concert des nations.
Parallèlement, j’attends du Président de la République qu’il réclame la convocation sans délai d’un conseil européen car la voix de l’Europe est inexistante, indigne de son rang.
Voilà les conditions qui, selon moi, doivent être remplies avant toute éventuelle intervention militaire. Sans elles, toute opération serait à mon sens une lourde faute. Monsieur le Président, attention !
Nous relatons ici la vidéo et retranscrivons en français le commentaire en arabe de la journaliste Zahra’ Dirâni de la chaîne libanaise al-Mayadeen qui présente cette vidéo sous-titrée : « Les enfants de Syrie, une nouvelle génération de kamikazes en formation. Des camps spéciaux créés par des groupes armés pour entraîner les enfants et les préparer à des missions-suicide ».
http://www.almayadeen.net/ar/news/syria-UiNw4E_hm0On,aInAQLXNQ/أطفال-سورية-جيل-جديد-من-الإنتحاريين
Transcription ci-dessous du commentaire off de la video que l'on peut voir dans le lien ci-dessus.
Un instructeur exhorte les enfants par le début d’un verset du Coran : « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Alla, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, et bien pourvus. (Âl ‘Omrane 3 : 169) » Les enfants poursuivent ensuite la fin du verset. Puis, l’instructeur, en criant « takbîr » (تكبير ) leur fait crier l’invocation « Allahou Akbar » (Allah est Grand) avec, en off, un chant de guerre du jihad islamique …
« Ils entrent, enfants, dans des camps de groupes armés qui en font des kamikazes.
Il n’est pas possible d’établir le nombre des enfants embrigadés dans ces camps mais une source syrienne de l’opposition a révélé que c’est parmi ces jeunes que les kamikazes sont choisis avec grand soin. Lors du choix, leurs conditions de vie sont scrutées. On préfère habituellement ceux qui ont perdu leur famille ou un membre de leur famille. Celui qui est choisi est transféré dans un centre spécial où il est soumis à une manipulation psychologique. Il est maintenu isolé pendant de longues périodes afin de fixer en lui l’idée [du suicide pour lequel il a été sélectionné]. Quand il est prêt, on lui fixe une mission qui correspond à son profil.
Le Front al-Nousra est considéré comme le premier des groupes rigoristes qui ait adopté, depuis deux ans, le concept des opérations-suicide en Syrie. Mais l’organisation Ra’d, de formation récente connaît plus le sujet, est plus expérimentée dans ce genre d’opérations. Ses combattants établissent des comparaisons entre les kamikazes, en commençant par l’enfance. Ils profitent de l’expérience acquise en Afghanistan et en Irak et de la situation de désordre que vit la société syrienne qui manque de toutes les apparences d’une vie civile ordinaire, des services de tous genres et tout particulièrement de l’enseignement.
Les écoles en Syrie ont été transformées en casernes. On y prépare les enfants à devenir des outils pour tuer. Un rapport élaboré par le Centre Syrien d’Études Politiques avec la collaboration de l’UNRWA (United Nations Relief and Works Agency) révèle que 5.000 écoles ont arrêté de fonctionner et que la plupart sont transformées en camps militaires.
C’est donc la guerre qui ne porte en son sein que des catastrophes, ne met au monde qu’une génération vouée à la mort. »
Cet asservissement est absolument dramatique : ces enfants formés en grand nombre, qui devraient se tourner vers la vie, sont orientés vers la mort et pour donner la mort. Ceux qui ne sont pas sélectionnés pour agir sur place seront-ils exportés en Occident ? (NDT)
Transcription et traduction de l’arabe
Bernard Dick
Immigration
La France a intégré depuis des siècles des générations d’étrangers qui lui ont apporté leur énergie et leur force de travail. Aujourd’hui, les conditions économiques et sociales commandent de réduire au minimum le flux de l’immigration. Je propose que soit voté chaque année, par le Parlement, le nombre de migrants que nous pouvons accueillir sur notre territoire, les compétences dont nous avons besoin et les régions du monde vers lesquelles nous souhaitons nous tourner.
Pour moi, la citoyenneté est l’expression d’une adhésion à la Nation. Je propose de mettre fin à l’automaticité de l’acquisition de la nationalité pour les enfants nés en France de parents étrangers. Il faut que la naturalisation procède d’une manifestation de volonté, pour que chacun comprenne qu’elle comporte des droits et des devoirs.
Notre République pourra se montrer d’autant plus généreuse qu’elle sera ferme sur ses principes. Parce que chacun doit faire ses preuves, je propose de réserver l’accès aux prestations sociales aux migrants légaux présents depuis plusieurs années sur notre territoire.
PS : Je ne sais pas si cette proposition verra le jour, mais elle a au moins le mérite d'être exposée par son auteur. En cela j'adhère pleinement à ce projet.