Qui expliquera à Franck Ribery qu'un terrain de football n'est pas une mosquée ? S'afficher de la sorte devant des dizaines de milliers de personnes (prières sur un terrain de Foot
s'appellerait "provocation" pour n'importe quelle religion.....Sauf, comme par hasard, quand il s'agit de la Religion islamique..... Alors que les Musulmans s'offusquent et
crient "à la provocation" quand on a, en France, l'outrecuidance de fêter Noël (Fête multi et multi-centenaire), en exposant des Arbres de Noël... Voici l'excellent article de Pierre
Cassen, publié sur le site RIPOSTE LAIQUE :
Dans un article intitulé " Les prières de Ribery ont-elles leur place dans un stade ", j'avais
expliqué que l'attitude prosélyte de l'international français, faisant ses prières avant le coup d'envoi, était contraire à l'esprit du sport et aux principes laïcs de notre pays.. Je m'étonne
encore que personne, ministre des Sports, président de la Fédération française de football ou sélectionneur, ne le rappelle à l'ordre, quand il joue pour l'équipe nationale.
Manifestement, à lire l'interview qu'il a accordée à un journal italien, le garçon persiste et signe : nous aurons droit à ses prières, nul ne l'empêchera, dit-il, avant chaque match de football
. Le parcours de ce joueur brillant, issu d'un milieu populaire, aujourd'hui idole des supporters du Bayern de Munich, est révélateur d'un ensemble de phénomènes nouveaux auquel est confrontée la
société française. Chaque sportif, comme chaque citoyen, a la parfaite liberté de croire, ou de ne pas croire, et cela relève de sa sphère privée. Mais à partir du moment où il affiche
publiquement son engagement religieux, on est en droit de l'interroger : a-t-il été contraint à cette conversion, pour pouvoir épouser une musulmane ? Or, dans l'interview, il se refuse à
répondre à cette question, ce qui prouve que la réponse est probablement oui, et confirme la pression que subissent de nombreux citoyens de nationalité française pour épouser un conjoint musulman
: pas de conversion à la religion d'amour et de paix, pas de mariage ! Ses deux filles s'appellent Hizya et Chahinaz. Franck Ribery vient d'aller faire un pèlerinage à La Mecque. Est-il excessif
de dire que ce joueur est en train de devenir un militant musulman, prêt à utiliser sa renommée internationale pour faire de la propagande pour sa religion, en imposant ses prières à ses
équipiers, à ses adversaires, et au stade entier ?Faut-il signaler qe l'équipe de France était, dans le dernier euro, celle qui comptait le plus de joueurs musulmans ? Cela pourrait demeurer un
choix privé... si la vie quotidienne du groupe n'en était transformée, devant s'habituer à des rites particuliers, à des comportements alimentaires spécifiques, et à des démonstrations de plus en
plus visibles. Ces derniers temps, même Thierry Henry, la vedette de l'équipe, meilleur buteur de tous les temps de l'équipe de France, a fait connaître son intérêt pour l'islam.
C'est donc dans ce contexte que Franck Ribery annonce que nous devrons continuer à subir ses prières, dans les stades, et ajoute, avec toute la subtilité dont il est capable : " Quand je récite
mes prières, je me fous de ce que les gens en pensent ". Une nouvelle version de " Le voile c'est mon choix, c'est ma liberté ". On a su expliquer aux jeunes filles, en France, que l'école de la
République nécessitait d'en préserver la neutralité, et de ne pas y exhiber leur voile. Qui expliquera à Ribery et à ses amis qu'il y a une différence entre un terrain de football et une mosquée
? Devons-nous nous attendre, dans un contexte où La Marseillaise est sifflée par des citoyens nés en France dès que notre pays rencontre un pays d'Afrique du Nord, où les internationaux
français sont conspués dès qu'ils touchent le ballon (sauf les convertis à l'islam), à ce que Ribery fasse des émules ? Un autre français, qui joue en Espagne, Frédéric Kanouté, qui ne cache pas
son militantisme pour l'islam, a, lui, retiré son maillot, lors des événements de Gaza, pour exhiber un tea-shirt exprimant sa solidarité à la Palestine. Dernièrement, l'international
William Gallas exprimait son malaise, au lendemain de la pitoyable élimination de l'équipe de France, au dernier euro, devant le fossé qui se creusait entre générations. Il y décrivait
l'arrogance de beaucoup de jeunes joueurs, déjà milliardaires à vingt ans, et leur absence de respect pour les anciens. Cette équipe où, outre les problèmes jeunes et anciens, on assiste à la
montée d'un clan cimenté par la conversion à l'islam d'un nombre de plus en plus important de joueurs, qui, tels Ribery, imposent leurs pratiques à l'ensemble ? Peut-on compter sur la
Fédération Française de Football pour effectuer quelques élémentaires rappels à l'ordre républicain ? A voir son ridicule dernier clip, surfant sur la vague Obama, ce n'est pas d'elle que peut
venir ce sursaut. Dix ans après le titre de champion du monde, on est bien loin de l'équipe de France de 1998, derrière laquelle tout le monde se reconnaissait. Aimé Jacquet n'aurait jamais
accepté cela, et Zidane n'aurait jamais imposé une prière aux spectateurs. Faudra-t-il que les spectateurs en arrivent à siffler Ribery, dès qu'il touche un ballon, pour lui signifier ce qu'ils
pensent de son attitude ?Pierre Cassen