Voilà, c’est fait, la France vient de se doter de son premier département musulman en déclarant Mayotte, 101ème département français.
Et nous n’avons eu droit qu’à un simple entrefilet dans les media. Juste une petite phrase anodine dans les journaux TV. Surtout ne stigmatisons pas les immigrés à
la veille d’un débat sur l’islam qui débutera le 5 avril prochain !
« Taisons-nous ! Les français n’ont pas besoin qu’on leur gratte les puces, ils seraient capables de se rebiffer. Par les temps qui courent, leur
balancer l’avènement d’un département musulman, après les résultats du dernier scrutin portant le FN à 40% des suffrages exprimés, ce n’est pas fait pour nous arranger ! »
On connait trop bien l’hypocrisie de notre classe dirigeante. On disait qu’elle ne pourrait plus jamais nous tromper. Pourtant, hier, ils ont franchi un pas de
géant dans l’odieuse manœuvre qu’ils ont engagée pour abandonner la France.
Certes, nous connaissions, déjà, les ghettos dans nos villes bien françaises, des ghettos qui regroupent tous les immigrés par dizaines de milliers et qui
deviennent des enclaves musulmanes puisque les pouvoirs publics et les media les reconnaissent sous ces dénominations. « quartier musulman » de Nice, par exemple, ou
« cités sensibles » de Lyon, Marseille ou Paris. Pire, ils les reconnaissent comme des « zones de non-droits ».
Et puis, nous avons des villes bien françaises, comme Roubaix, pour ne citer qu’elle dont la population musulmane est supérieure à la population des
FDSE…
Ou encore,Marseille, qui est réputée pour n’avoir qu’un arrondissement sur une vingtaine, classé comme « zone de
droit » (c'est-à-dire à majorité FDSE) et dont le président Michel Vauzelle est fier d’être le « premier président d’une Région musulmane »… ce
qui laisse penser qu’il y en a d’autres en voie de le devenir.
Depuis hier, 31 mars 2011, la France vient d’intégrer, dans son territoire, le premier département qui compte le plus de clandestins africano-musulmans. La langue
qui y est parlée est essentiellement arabe. Peut-être que les fonctionnaires FDSE en poste, là-bas, ne savent plus que faire des traductions parce que les habitants de Mayotte ne parlent
pas un traitre mot de notre langue.
Et pour cause. Ce pays (car c’est un pays) appartient à l’archipel des Comores. Les autorités de ce pays n’ont toujours pas renoncé à reprendre une de leurs plus
importantes îles et comptent bien la récupérer - « avec tout ce qui aura été fait par la France généreuse et bienfaitrice ». On connait le processus, n’est-ce pas ?
Et les français (que nous sommes) seront bien obligés, lorsque cette échéance viendra – et elle viendra - de considérer tous les habitants, « des comoriens
devenus français de papiers », comme des « rapatriés » qu’il faudra loger dans nos îles et même dans l’Hexagone.
Ce président de la France, héritier de De Gaulle, nous a mis devant un fait accompli comme jadis l’autre l’a fait avec l’Algérie.
Nous a-t-il demandé de nous exprimer sur le devenir de cette île qui, jusqu’à hier, n’était pas française ?
Avons-nous eu le droit de participer au referendum qui demandait à la population de Mayotte si elle voulait rester française ?
NON. Nous ne sommes que des pions, bons à payer pour renflouer les caisses de l’Etat et à dire amen aux décisions de notre président de la République qui
décide seul, de notre devenir et à quel prix !
Si certains pensent que ce département est trop éloigné de la France pour que cela ait une incidence quelconque sur leur vie de tous les jours, il faut vite les
informer des conséquences qui ne manqueront pas de se répercuter sur leur quotidien.
Ce département qui n’a aucune ressource dépend intégralement, totalement, uniquement de la France. C'est-à-dire NOUS.
Qui sera obligé de mettre la main au porte-monnaie pour subvenir aux besoins de ces populations qui vivent dans la plus totale précarité et n’en finissent plus de
faire des enfants ?
Nous. Nous qui vivons dans des départements que l’Etat considère riches parce que nous travaillons, parce que nous payons nos impôts, parce que nous essayons,
malgré tout, de relever la France. Cette France, endettée jusqu’au cou, dont le PIB ne suffit plus à couvrir les dettes contractées par ceux qui nous dirigent et s’obstinent à jouer les
« grandeurs » lorsqu’il s’agit des immigrés clandestins, régularisables à souhait et de préférence musulmans.
Quel est le but du président Sarkozy aujourd’hui ? Quels sont les accords passés - mais surtout passés sous silence – qu’il nous impose et qui mène le pays
tout droit à la faillite ?
Un département démuni, un département sinistré, un département « étranger » vient d’être intégré à la France, alors que les Français sont au bord
de la guerre civile parce que les élites ne veulent pas prendre leurs responsabilités pour le redressement économique du pays.
Une guerre civile qui nous guette, sous forme de guerre de religion, parce que les mêmes ont décidé de donner toujours plus de droits à ceux qui ont
enclenché l’islamisation de la France.
Combien de temps resterons-nous muets ?
N’est-il pas temps de nous redresser et de dire, dans la rue ou ailleurs, puisque les bulletins de vote finissent toujours par élire ceux qui nous mènent à la
perdition, que nous ne voulons plus de ces bandes d’affamés qui nous affament ?
Serons-nous assez forts, assez unis, pour dire d’une seule voix, aux gouvernants actuels, gauche-droite, que nous en avons assez de leur politique immigrationniste
et dévalorisante pour notre Pays ?
Non. Nous n’avons jamais voulu ce département sinistré supplémentaire. Que la France se retire de Mayotte comme elle l’a fait en Algérie. Et, nous verrons bien si
les voix des gauchistes-humanistes s’élèvent comme elles se sont élevées, il y a cinquante ans, parce que « nos départements » coutaient trop cher à la France.