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  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
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chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

                                                    ------------------------------00000000000000000-----------------------------------------




 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



bouton sita




 

  

 


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TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

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DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 16:32
Mercredi 3 novembre 2010 3 03 /11 /2010 15:48

Au moment où le Gouvernement, sous la pression de plusieurs députés, entend soumettre à une cotisation de 30 euros l'attribution de l'Aide Médicale d'Etat permettant aux immigrés clandestins de se faire soigner gratuitement , il faut le dire et le répéter:


 ASSEZ de réformettes! Assez de faux semblants! L'AME ne soit pas être "révisée". Elle doit être purement et simplement SUPPRIMEE.

Par mediadroite.over-blog.com

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 06:57
Mardi 2 novembre 2010 2 02 /11 /2010 11:54

jean-francois touze Par Jean-François Touzé

 

Le massacre des chrétiens dans une église de Bagdad, les tentatives d'attentats contre des synagogues américaines, l'enlèvement de nos ressortissants au Mali, les menaces de Ben Laden contre la France, mais aussi les imprécations iraniennes comme celles du Hezbollah contre Israël et l'occident, sont autant d'éléments réunis qui attestent de la volonté des terroristes islamiques de mener, au delà des clivages sunnites-chiites, la guerre sainte contre notre civilisation.


Face à cette offensive, l'ensemble du monde libre doit se mobiliser.


 Plus que jamais ici nous entendons défendre le renforcement du lien transatlantique, la solidarité avec Israël, et la coopération en matière militaire et de renseignement de l'ensemble du camp occidental.


La sécurité du monde libre ne sera asurée qu'au prix de la conscience retrouvée de tout ce qui d'un coté et de l'autre de l'Océan, mais aussi sur la terre de France comme sur celle d'Israël, nous rassemble et nous unit.

 

Par mediadroite.over-blog.com

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 06:49

Une Histoire mondiale tumultueuse
L'Histoire du monde se révèle être une longue succession de luttes, d'antagonismes d'ordre politique, idéologique, religieux, racial, voire de chocs et de conflits de civilisations. Ces différents aspects étant, par ailleurs, souvent étroitement imbriqués et simultanés. Pour mémoire citons quelques exemples : l'avènement du monothéisme moyen-oriental contre les religions antiques, Rome contre le monde "barbare", le Christianisme contre le Paganisme ou polythéisme européen, les guerres ou rivalités entre Chrétiens (Catholiques, Protestants, Orthodoxes, Anglicans) puis entre monothéistes (Chrétiens, Musulmans) ; la querelle des idéalistes contre les matérialistes, puis celle des matérialistes entre eux (marxisme et capitalisme). Aucune page d'Histoire n'est exempte de ce genre de rivalités où chaque camp essaie d'affirmer sa supériorité sur l'autre d'une manière ou d'une autre.
Notre monde d'aujourd'hui n'échappe pas à la règle qui voit, notamment, s'affronter l'idéologie raciste et l'idéologie antiraciste, sans pour autant ignorer leur étroite imbrication avec d'autres : capitalisme-anticapitalisme, socialisme-antisocialisme, étatisme-libéralisme... Chaque force active provoquant immanquablement une force contraire. Alors, qu'en est-il ?
L'idéologie raciste
Globalement, l'idéologie raciste veut affirmer la suprématie d'une race et de sa culture sur les autres. On en sait les effets surtout au travers des évènements de la Deuxième Guerre Mondiale. Mais à côté des théories d'Adolphe HITLER et de leurs funestes conséquences que tout le monde connait, d'autres propos nullement belliqueux mais néanmoins tout aussi racistes nous viennent de personnalités reconnues et tenues pour exemplaires. Quelques citations:
"Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." Jules FERRY - Discours devant les Députés - 1885. (http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
"Si nous avons le droit d’aller chez ces barbares, c’est parce que nous avons le devoir de les civiliser". Jules FERRY (http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
"Il faut non pas les traiter en égaux, mais se placer au point de vue d’une race supérieure qui conquiert". Jules FERRY (http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
"Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de l'industrie." Léon BLUM - 1925. (http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
Voilà résumé en quelques phrases les ressorts et les motivations de la politique coloniale prônée par des personnalités laïques et républicaines au-dessus de tout soupçon et qui, cependant, n'ont jamais fait l'objet d'attaques de la part des lobbies antiracistes. L'actuel "Droit d'ingérence" n'est que la forme plus récente de cet état d'esprit supérieur et condescendant. En effet, au motif que les idées et visions du monde de quelques-uns seraient intrinsèquement des valeurs universelles, elles doivent par conséquent être exportées et appliquées de gré ou de force à toutes les populations, quelles que soient leurs cultures, leurs mœurs, leurs identités et traditions particulières.
Alors bien sûr, il ne s'agit pas de mettre HITLER, FERRY et BLUM dans le même sac. Le premier théorise la notion de "race supérieure", l'assimile à une sorte de matérialisme biologique, et penche pour l'extermination des Juifs, entre autres ; les deux autres en restent à une "posture de supériorité et de condescendance" pour justifier la colonisation. Une colonisation qui, loin de s'apparenter à un génocide, doit aussi être considéré sous ses aspects tant économico-financiers que géostratégiques.
Évidemment, entre ces trois personnalités, comme on dit : "Y a pas photo". Ici, il convient juste de noter que les notions de "race supérieure" et de "supériorité" tout court, sont présentes dans les divers types de discours conquérants.
L'idéologie antiraciste
Pour sa part, dans un contexte de mondialisation économique déclarée obligatoire et où l'identité des Peuples ne compte guère, l'idéologie antiraciste aboutit aujourd'hui à vouloir faire cohabiter sur le même territoire des populations complètement différentes et qui ne le souhaitent pas, nonobstant l'hypocrisie de certains discours militants.
Dans son combat pour faire triompher sa cause, cette idéologie ne fait rien d'autre, elle aussi, que tenter d'affirmer la supériorité de ses thèses. Elle n'a de cesse de vouloir prouver qu'elle a raison en éliminant l'adversaire. Il s'agit, là encore, d'un discours de conquête qui se veut supérieur.
Alors que la planète entière est truffée de luttes raciales ou ethniques, il faut remarquer que, dans la pratique, le champ d'opération de l'antiracisme se limite quasiment aux seuls territoires occidentaux et, d'une manière générale, aux régions gouvernées par des Blancs. Dans ces zones géographiques, l'antiracisme s'avère donc être spécifiquement une "arme anti-Blanc". Dans les faits, il n'est rien d'autre qu'un racisme anti-Blanc et l'Islam conquérant -c'est un pléonasme- en a fait son "Taser" favori. Résultat de l'opération pour les Pays d'Europe : communautarismes, volonté d'être distingué et reconnu (donc discrimination), revendications culturelles et cultuelles, haines raciales ou ethniques (race = notion biologique et taxinomique / ethnie = entité d'héritage socioculturel ), jalousies sociales, agressions répétées et, à terme, guerres civiles interethniques ou interraciales. La dernière phase est déjà "dans la seringue".
Paradoxalement, il faut noter que beaucoup d'antiracistes nient l'existence des races, alors que les Lois antiracistes font elles-mêmes référence aux appartenances raciales et ethniques. Parallèlement, tout le monde parle sans complexe des Pays ou Émirats Arabes, de l'Afrique Noire mais jamais de l'Europe Blanche. Tout ce qui est Blanc serait-il donc suspect ?... Mais suspect de quoi ?... de racisme, forcément. D'où l'antiracisme. CQFD ! Mais alors, il faudrait savoir : elles existent ou pas les races ?
Apparemment, elles semblent bien exister puisque le CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires) fait explicitement référence à une race lorsque, dans le préambule de ses statuts, il affirme que " les populations noires sont encore confrontées à des préjugés séculaires".
L'Article 2 de ces mêmes statuts précise encore que le CRAN a pour but de " promouvoir la solidarité au sein des populations noires de France" et de " promouvoir l’image des populations noires et œuvrer pour le développement et la dignité de ces populations".
Si le verbe discriminer signifie distinguer, différencier, ne sommes-nous pas ici face à une discrimination bien réelle ?... et autorisée par la Loi !
Imaginons un instant le tollé unanime des bobos et antiracistes de tous poils si un Blanc venait à créer le CRAB (Conseil Représentatif des Associations Blanches) !
Et puis il y a surtout cet aspect culpabilisant tendant à rendre le Blanc responsable de tout ou presque tous les maux. Ainsi le Blanc est-il tenu pour responsable de l'esclavage, par exemple, en omettant soigneusement de dire que tous les Peuples -toutes races confondues- l'ont pratiqué à un moment ou à un autre de leur Histoire. Aujourd'hui certains États le pratiquent encore et ce ne sont pas des États Blancs. Au fait, un Français a-t-il songé à faire un procès à Silvio BERLUSCONI au motif que les Romains, ancêtres des Italiens, ont réduit 80000 Gaulois en esclavage après la chute d'Alésia, en 52 av. JC ? Un Noir a-t-il seulement pensé à trainer en justice tel ou tel État Africain parce-que, à certaines époques, les chefs de tribu vendaient leurs prisonniers et même certains membres indésirables de leurs entourage à d'autres négriers, qu'ils soient Noirs, Arabes ou Blancs ? Un Européen ( Français, Italien, Espagnol principalement) envisage-t-il un procès à l'encontre de Abdelaziz BOUTEFLIKA en raison des razzias effectuées par les Barbaresques de l'Algérois, pendant des siècles, sur les populations côtières et destinées à alimenter les marchés aux esclaves, avec la bénédiction de l'Empire Ottoman ? La traite des Blancs et des Blanches est aussi une réalité historique !.. et c'est d'ailleurs ce qui a motivé la prise d'Alger par les Troupes Françaises, en 1830. Le pétrole et le gaz n'avaient rien à voir dans l'affaire.
En agissant comme elle le fait, mensonge, omission, réécriture de l'Histoire, l'idéologie antiraciste ne fait donc qu'exacerber, chez les uns et les autres, la montée du racisme qu'elle prétend combattre.. et réciproquement d'ailleurs. Il y a là comme un effet pervers de vases communicants alors que, quelle que soit sa race, un homme n'a pas à rougir de ce qu'il est, le Blanc comme les autres !
Une Terre, un Peuple
Les différentes races ne sont pourtant pas nécessairement ou génétiquement ennemies... alors pourquoi créer des conditions débouchant sur de tels antagonismes ? La nature même du monde étant déjà conflictuelle, n'y a-t-il donc pas suffisamment d'autres motifs à guerroyer ? Et qu'y aurait-il de choquant dans la volonté de tous ces groupements humains à ce que Noirs, Arabes, Asiatiques, Blancs ou même Martiens veuillent vivre entre eux et distinctement des autres, ce qui ne signifie pas sans contact, ni relation, ni estime, ni sympathie ? Ce qui n'interdirait pas non plus à des personnes issus d'autres Peuples de résider sur des territoires autres que celui d'origine comme cela s'est toujours fait dans des proportions raisonnables. Toutes les civilisations, tous les Empires, toutes les Nations ont, de tous temps, connu ce genre de contact "à la marge", ne serait-ce que par leurs échanges commerciaux qui ne datent pas d'hier. La notion naturelle "une Terre, un Peuple" éviterait ainsi bien des conflits racialo-ethniques intra-sociétaux sachant que l'ouverture au monde n'a rien à voir avec le mélange forcé des mondes qui, précisément, les fait disparaitre. Cette notion inhérente à l'Histoire de tous les Peuples n'a évidemment rien à voir avec un quelconque apartheid sur lequel débouchent inévitablement les communautarismes au sein d'un même État. Chaque Peuple a droit sa propre culture, à sa propre identité, à sa propre Terre qu'il lui appartient de protéger, de développer. Pourquoi s'acharner à faire disparaitre toute cette diversité, soit par racisme, soit par antiracisme ? Tokyo ne sera jamais Washington, Le Caire ne sera jamais Berlin, Zürich ne sera jamais Tombouctou, pas plus que Paris ne sera jamais Alger. Ou alors cela signifiera qu'une ou plusieurs civilisations auront disparu ! Il apparait pourtant bien évident que les Peuples et leurs cultures respectives sont bien plus à même de se tolérer et de s'estimer mutuellement dès lors qu'ils se distinguent et se développent librement dans un espace qui leur est propre. Le "village Terre" n'existe pas, le "citoyen du monde" non plus. Il n'y a que des hommes enracinés sur leurs terres et organisés en sociétés particulières. C'est déjà pas mal. Dans cet esprit, il faudrait voir à sortir un peu du schéma psychanalytique réducteur et débilitant du style "peur de l'autre parce-que ignorance de l'autre" dont on nous rebat les oreilles. Qui a peur de qui ? Qui a peur de quoi ? Qui ignore quoi ? Le monde ne serait-il peuplé que d'une bande de trouillards incultes que seuls les médias et les milieux autorisés - autorisés par qui ?- seraient habilités à éduquer doctement en leur expliquant les raisons mal fondées de leurs peurs idiotes !
Au XXIème Siècle, en un temps où la tendance est justement à la protection de la Nature, à la sauvegarde des espèces et des races animales, pourquoi les hommes avec leurs races, avec leurs ethnies, leurs cultures, leurs identités différentes, n'auraient-ils pas droit aux mêmes égards ? Les hommes ne feraient-ils donc pas partie intégrante de la Nature ?
Capitalisme mondialiste et antiracisme
Dans les faits, les deux idéologies -racisme et antiracisme- se suscitent et s'alimentent mutuellement tout en se combattant, un peu à la manière du bloc capitaliste et du bloc communiste qui, à l'époque de la guerre froide et tels des chiens de faïence, justifiaient leur propre existence par celle de l'autre. Ici, et selon leurs penchants philosophiques personnels, les observateurs qualifieront la situation de "dialectique" ou de "dualiste".
Or, tout comme en physique, la disparition de l'une ou l'autre des deux forces entraine inévitablement un déséquilibre et ouvre une brèche béante dans laquelle l'autre s'engouffre sans retenue pour aboutir à un système totalitaire. Tout est alors nivelé, indifférencié, amalgamé, uniformisé et régi par la même règle. Pour le monothéisme, c'est le "paradis au ciel"; pour le marxisme, le "paradis sur terre"; pour le capitalisme internationaliste, la "gouvernance économique mondiale".
C'est selon ce même principe, la nature ayant horreur du vide, que naissent et meurent les civilisations.
De nos jours, et après l'épisode raciste de l'entre-deux guerres, nous sommes désormais rendus à l'ère de l'antiracisme, concomitante à la mondialisation capitaliste. Toutes deux alliées de circonstance. En effet, pour les tenants de ces deux doctrines, peu importent les consommateurs pourvu qu'ils consomment et peu importent les producteurs pourvu qu'ils produisent. Ici, et bien qu'il faille admettre la possible existence d'un capitalisme national -voire local-, c'est bien le capitalisme mondialiste qui trouve son intérêt dans le déplacement des populations en provenance de pays pauvres à faible consommation vers des pays encore riches qui, de plus, leur procurent les subsides nécessaires pour consommer. L'intérêt des travailleurs nationaux qui paient de leurs poches les aides en tous genres par le biais des taxes et impôts acquittés est ici totalement méprisé. D'où la nécessité décrétée par quelques économistes technocrates "bruxellois", via les différents Traités européistes, de laisser passer les flux migratoires afin de "rééquilibrer les zones de production et les zones de consommation". D'où la nécessité également pour la haute finance et ses satellites médiatiques d'actionner le levier antiraciste afin de faire accepter les communautarismes au sein d'un même État. Les multiples délocalisations d'entreprises françaises, et plus généralement occidentales, sont une conséquence directe de ce mode de pensée : il s'agit bien là de diminuer les coûts de production pour augmenter les profits quitte à faire indemniser les chômeurs par les États... des chômeurs qui, naturellement, pourront ainsi continuer de consommer un peu et donc d'écouler la production.
De cet état de choses le monde entier se rend bien compte : depuis la chute du Mur de Berlin, le capitalisme mondialiste triomphe. Du temps de la "guerre froide", il avait encore besoin des Peuples en tant qu'États-Nations pour, le cas échéant, disposer de chair à canon en cas d'invasion soviétique. Désormais, et sans pour autant regretter feu le bloc de l'Est, le capitalisme mondialiste "se la pète" et tond les Peuples qui ne sont plus bons qu'à produire, à consommer et, si possible, à se taire en regardant la télévision. Les peuples deviennent ainsi des masses de divertis et les médias sont là pour veiller au grain. L'emprise mondialiste est aujourd'hui totalitaire. Fi des identités, fi des cultures et des traditions sauf si elles sont "métissées", c'est-à-dire méconnaissables et déracinées... d'autant que "le politique", sensé les protéger en les représentant, se subordonne désormais lui-même et de plus en plus à "l'économique". Le phénomène est général sur toute la planète et "ON" nous le présente même comme inévitable, inéluctable et gage de progrès. Ben voyons...
Autrefois, le communisme avait ses "alliés objectifs", ses "compagnons de route". Aujourd'hui le capitalisme mondialiste a son antiracisme, du moins tant qu'il lui est utile. Il est d'ailleurs "amusant" de constater que, sans s'en rendre compte, certains antiracistes qui se proclament anticapitalistes ou l'inverse font le jeu de ceux-là mêmes qu'ils croient combattre ! Olivier BESANCENOT et son NPA -pour ne citer qu'eux- sont parfaits dans le rôle. Dans le même ordre d'idées, se rappelle-t-on que la plupart des mouvement pacifistes étaient téléguidés par l'Union Soviétique contre l'Occident, et que beaucoup d'écolos sont en fait manipulés par des lobbies industriels environnementaux ? La commande à distance semble bien être un des fléaux mortels de nos sociétés modernes et l'antiracisme ressemble bien à un missile, "Scud" ou "Patriot" selon les point de vue, qui est en train de nous péter à la figure !
Le cas de l'Afrique du Sud
Un exemple frappant de cette instrumentalisation de l'antiracisme par le capitalisme mondialiste réside dans le cas de l'Afrique du Sud.
Sans prendre aucun parti, rappelons les faits. Du temps de la guerre froide, l'Afrique du Sud et son régime d'apartheid avait bénéficié d'une relative indulgence de la part des pays occidentaux, des USA et des milieux d'affaires. Ces derniers n'hésitant pas à investir dans le pays et à soutenir le pouvoir Blanc en raison de la position géopolitique stratégique de l'État Sud-Africain face au bloc communiste. L'opposition noire était alors principalement animée par des gens comme Desmond TUTU, hostile à Israël et favorable aux Palestiniens, ainsi que par les amis de Nelson MANDELA (incarcéré à vie) eux-mêmes épaulés par les communistes Blancs Sud-Africains et les Soviétiques.
Le 2 Février 1989, Frederik de KLERKE, homme politique conservateur rassurant pour les Blancs, arrivait au pouvoir. Quelques mois plus tard, le 9 Novembre, survenait la chute du Mur de Berlin qui consacrait la fin du bloc de l'Est. Dès cet instant, la politique de l'Afrique du Sud allait s'infléchir. Imprégné d'une conception antiraciste de la société, le processus de disparition de l'apartheid anti-Noirs était progressivement mis en œuvre conjointement à tout un train de mesures favorables aux Noirs, et Nelson MANDELA obtenait sa libération. Le pouvoir Blanc n'étant plus indispensable à la lutte anti-communiste, la haute finance et les investisseurs mondiaux opéraient alors une conversion radicale, passant du soutien aux Blancs au soutien aux Noirs. En 1996, les Blancs étaient définitivement écartés du pouvoir. L'apartheid anti-Blanc et la discrimination positive pouvaient commencer.
Le capitalisme mondialiste n'a pas de Patrie
La leçon qu'il faut donc tirer de ce genre d'exemple est que, contrairement aux idées reçues, le capitalisme mondialiste (la haute finance, les milieux ou banques d'affaires, le capitalisme apatride, les marchés, les investisseurs... chacun l'appellera comme il veut) n'est nullement homogène et solidaire des intérêts d'une race, d'une ethnie ou d'une idéologie en particulier, fut-elle blanche, juive ou sioniste. L'existence d'un pôle arabe et l'émergence d'un pôle chinois complètent aujourd'hui le tableau. Il y a donc aussi des rivalités en son propre sein mais ses soutiens ne vont jamais que là où sont ses intérêts. Un point c'est tout. Aujourd'hui, pétrole et ressources minières obligeant, on lâche les Blancs pour les Arabes et les Noirs... Demain on lâchera les Arabes et les Noirs pour jouer avec les Chinois ! L'argent n'a pas d'odeur. Nul Idéal dans tout cela... l'Idéal, c'est bon pour les masses, quelle qu'en soit la couleur de peau. On ne sait jamais : demain, on peut encore avoir besoin de soldats ! En un temps où les économies étaient encore nationales et sous le contrôle du politique, certains intérêts financiers pouvaient encore être considérés comme étant liés à ceux d'une Nation. Soumis au "politique", le capitalisme se trouvait ainsi relativement maîtrisé. A notre époque, ce n'est quasiment plus le cas : à grand renfort d'ultralibéralisme, les monopoles et oligopoles tentaculaires de nombre de multinationales, supranationales et autres consortium financiers s'appliquent à faire sauter un à un les verrous et protections que constituaient naturellement les État-Nations.
Le rêve du capitalisme mondialiste ?... une planète uniformisée, dépersonnalisée, métissée, une planète de producteurs-consommateurs régie par une seule et même gouvernance économique mondiale. Une de ses armes ?... le "Taser" antiraciste mêlé d'internationalisme ! Deux de ses courroies de transmissions ?... le FMI et la gouvernance économique européenne de José Manuel BARROSO, actuel Président de la Commission de Bruxelles. Un de ses thèmes récurrents... la paix dans le monde ! On nous assène, par exemple, à longueur d'émissions de propagande que la paix en Europe est due aux institutions européistes... tant pis pour ceux qui croyaient encore à tort que c'était grâce à la victoire de 1945. Et tous les "gogos-bobos" de tomber dans le panneau !
Des Lois liberticides et anti-françaises
La conséquence de tout cela est que, rendu au niveau de ce qui nous intéresse au premier chef, la FRANCE, des jours sombres sont à prévoir si rien n'est fait, si rien ne change rapidement et en profondeur.
Alors que les signaux d'alarme sont actionnés depuis longtemps par des gens de tous bords, alors que les clignotants sont au rouge depuis belle lurette, les milieux qui se croient encore politiques font la sourde oreille. "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" semble être la nouvelle devise des gouvernants qui ne gouvernent plus rien et de leur opposition qui... qui quoi, au fait ? Mais où diable sont donc passés les SULLY, les COLBERT, les RICHELIEU, les MAZARIN, les TURGOT, les NECKER que peu d'élèves doivent désormais connaitre ?...
Progressivement vidée de sa substance par un capitalisme mondialiste et agressée physiquement par un Islam conquérant, la société française est maintenant au bord de l'implosion. La chasse aux "souchiens", aux "sous-chiens", aux Blancs est ouverte (cf. L'actualité) et interdiction leur est faite de se défendre, de se rebiffer sous peine de se voir traiter de racistes, de sectaires, de "réacs", de "beauf" et sanctionnée par la "J"ustice en raison de certaines Lois antiracistes promulguées par des Députés Blancs inconscients. Des Lois liberticides qui ne se justifiaient même pas en regard du Peuple Français, pas plus raciste que d'autres, et qui se retournent maintenant contre lui parce-que c'est bien connu : seuls les Blancs sont racistes et les autres races ne font que lutter contre le racisme des Blancs qu'ils aiment bien malgré tout ! Fermez le ban.
Alors, à quand l'abrogation de ces Lois liberticides anti-françaises ? Sur le plan de la Liberté d'expression des Blancs cela aurait certainement un retentissement analogue à celui de l'abolition de l'esclavage pour les Noirs.
Après la France, plus de zone de repli pour les "souchiens"
À l'époque de la décolonisation, politique soutenue conjointement par les États-Unis, la Chine et l'Union Soviétique qui voulaient prendre les places, il a fallu que les populations blanches quittent l'Afrique Noire au motif qu'elles n'étaient pas noires. Il a fallu qu'elles quittent l'Indochine au motif qu'elles n'étaient pas asiatiques... et elles avaient plutôt intérêt à le faire.
À la fin de la Guerre d'Algérie, pourtant gagnée militairement sur le terrain -il ne faut pas l'oublier-, il a aussi fallu que les Européens quittent le pays, devenant ainsi des Rapatriés. Souvenons-nous de la menace d'alors : "La valise ou le cercueil !". Souvenons-nous de ces files d'attente d'Européens, les Pieds-Noirs, prêts à rembarquer et dans lesquelles les fellaghas du FLN venaient piocher pour en extirper certains "cochons de Français" puis les exécuter sommairement. Et tout cela sous l'œil consterné des Militaires Français qui avaient reçu l'ordre "supérieur" de ne pas bouger.
Alors, si les populations noires d'Afrique ont eu le droit de vivre uniquement entre elles, si celles d'Indochine et celles d'Afrique du Nord ont eu ce même droit sans pour autant être taxées de racisme, pourquoi les populations blanches d'Europe n'auraient-elles pas droit au même traitement équitable ? Un jour très proche, il faudra pourtant bien inverser la vapeur... ou disparaitre ! Les islamistes demandent déjà la création d'enclaves musulmanes sur le Sol Français. Sous le fallacieux prétexte de la loi du nombre, à quand la sécession du "9-3", à l'instar du Kosovo qui n'avait historiquement rien de musulman ?
Le XXème siècle regorge pourtant d’exemples de "remigrations" y compris en Europe où des populations installées dans des territoires depuis parfois plusieurs dizaines de générations sont retournées à leurs terres d'origine : Grecs (1,2 million de Grecs établis en Asie mineure depuis l’Antiquité expulsés vers la Grèce par le gouvernement nationaliste turc de Mustapha Kemal en 1923) ; Finlandais (400.000 Finlandais expulsés de Carélie soviétique en 1945) ; Allemands (13 millions chassés d’Europe centrale et orientale en 1945 qui ont trouvé refuge en RFA, RDA et Autriche ) ; Français (1 million de « Pieds-Noirs » rapatriés en France en 1962). Plus près de nous, les migrations ou "remigrations" dans les Balkans témoignent encore d'un phénomène courant dans l'Histoire mondiale.
Le retour au pays (le RAP !) est donc bien possible et qu'on ne nous dise pas qu'on ne peut plus rien faire.
Parce-que pour les "souchiens", après la FRANCE, plus de zone de repli, et sans Patrie plus de rapatriement possible.
À titre d'exemple, les Israéliens savent bien ce que c'est que de se battre dos à la mer, mais eux n'ont pas laisser l'Islam s'institutionnaliser à l'intérieur de leurs frontières. Nous, si. Merci Monsieur le Président !
Or, ici comme toujours, tout n'est que rapport de forces et malheur à celui qui accepte de jouer avec les règles imposées par l'ennemi. On est le plus fort ou on est le plus faible mais la supériorité ne se décrète pas : elle se prouve par la victoire, non par la défaite. On gagne ou on perd. Demande-t-on à un athlète de se mettre dans les starting-blocks pour perdre ? Lui dit-on que ce n'est même pas la peine de courir parce-que c'est foutu d'avance ?... Non, alors autant tout faire pour gagner et vite car la fin du match est proche et nous en sommes maintenant à jouer les arrêts de jeu ! De toutes les façons, face à l'offensive de l'Islam et aux coups de boutoirs racialo-ethniques, les Blancs de France et d'ailleurs n'auront pas trente-six solutions : ce sera la victoire ou la soumission... ou bien la diaspora ! C'est bien ce qui est promis, non ?...
Mais après tout, peut-être les Blancs ne sont-ils qu'une race inférieure sans fierté qui ne mérite que sarcasmes et mépris. Qui ne mérite que d'être vaincue en raison même de sa nature fondamentalement malsaine. Le racisme anti-Blanc aurait-il donc raison ?
Évidemment, cela expliquerait tout.
Marc Noé
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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 06:36

Comment une terroriste criminelle du FLN, ayant du sang sur les mains, a-t-elle pu poursuivre une carrière universitaire en France sans être inquiétée ? Un article de Mattheus.

Au moment où l'État Algérien -l'État-FLN- vient encore, une fois de plus, déverser sa haine anti-française sur les ondes internationales en déclarant que son Assemblée examinerait bientôt un projet de loi « criminalisant le colonialisme français » ; au moment où l'état français ne trouve rien d'anormal à ce qu'une ancienne terroriste vienne bénéficier du système de santé d'un pays qu'elle avait combattu naguère de la manière la plus lâche, il semble opportun et nécessaire de mettre en lumière une affaire jusqu'ici passée sous silence par tous les médias français : l'affaire Djamila Amrane-Minne.

De quoi s'agit-il ? D'un nouveau dossier Boudarel*, d'une nouvelle forfaiture d'état, d'un nouveau caillou noir à jeter dans le jardin du déshonneur français. Mais qui est Djamila Amrane-Minne ?

Née en 1939 en métropole, Danielle Minne, de son nom de jeune fille, arrive avec sa famille en Algérie en 1948 et devient, à l'âge de 17 ans, membre du « réseau bombes » de Yacef Saadi. A cette époque, fin 1956, début 1957 (début de la Bataille d'Alger), le FLN, dont la politique terroriste est librement affirmée et revendiquée, cherche des jeunes femmes à l'allure innocente pour distraire l'attention de la police et poser des bombes dans les lieux publics. Danielle Minne, qui prend le pseudonyme de « Djamila », est l'une d'entre elles.

Dans l'après-midi du 26 janvier 1957, la jeune femme entre au bar Otomatic, à Alger, et va déposer un engin explosif dans les toilettes. Elle ressort. Quelques minutes plus tard, la bombe explose, suivie de deux autres détonations à la Cafétéria du Milk-Bar (déjà touchée quelques mois plus tôt) et au café du Coq-Hardi. Bilan : 4 femmes tuées, une soixantaine de blessés (plusieurs amputés), dont de nombreux enfants. Un élément de plus dans la lutte de terrorisme aveugle à laquelle se livre le Front de Libération National, presque unanimement considéré aujourd'hui, en France comme (évidemment) en Algérie, comme un mouvement de combat pour la liberté, une sorte de Résistance luttant contre l'hydre fasciste incarnée par la présence française en Afrique du Nord. Danielle Minne, ayant rejoint les maquis FLN, est vite arrêtée. Jetée en prison, elle en ressort à l'époque de l'indépendance.

Mais cela n'est rien. Cela est de l'histoire ; histoire d'un terrorisme lâche et sans honneur, certes, mais comme en tant d'autres lieux et à tant d'autres époques. Cela n'est rien, car le pire est à venir et il nous est scandaleusement contemporain.

Danielle Minne, devenue après mariage, Djamila Amrane-Minne, a pu, sans jamais être inquiétée, sans jamais qu'un obstacle vienne se mettre sur son chemin, devenir universitaire en France et suivre, dans le pays même qu'elle avait trahi, une carrière parfaitement honorable à l'ombre du statut avantageux de fonctionnaire de l'enseignement supérieur. Oui, une porteuse de valise du FLN, pire, une poseuse de bombes, une terroriste revendiquée, est devenue, avec la bénédiction passive et le soutien actif de l'Etat et de ses institutions, Maître de Conférences à l'Université du Mirail, à Toulouse.

En 2002, elle est même nommée Professeur des Universités, plus haut grade de la hiérarchie, par un décret signé de Jacques Chirac, Président de la République ! Pendant des années, cette femme a enseigné l'histoire de la décolonisation (sic !), publiant articles et ouvrages sur la question, avec une prédilection particulière, nous indique sa bibliographie, pour le sort des femmes sous la colonisation française, elle qui, lors des attentats de janvier 1957, avait froidement contribué à en tuer quatre, et à en blesser plus d'une vingtaine ! Membre du Groupement de Recherches en Histoire Immédiate (GRHI), son statut l'autorisait à siéger en jurys de thèse universitaire, et à encadrer de jeunes chercheurs.

Voilà comment on écrit l'Histoire... Voilà comment on crache sur la France... Imagine-t-on un seul instant un ancien de l'OAS, jamais repenti, professeur à l'Université d'Alger, et recevant aujourd'hui une retraite de l'État algérien ?

Que l'Algérie, pays dévasté par un demi-siècle de dictature et de guerre civile, honore les Français qui se sont joints au terrorisme FLN, c'est une chose. Mais que la France ait pour une terroriste patentée la sollicitude et les égards qu'elle a toujours refusés aux Pieds-Noirs et aux Harkis, sacrifiés pour raison d'état, c'est à la fois une honte, et un crime. Une honte qui entache le blason déjà marqué de notre histoire nationale. Un crime à l'égard du peuple français et de ceux, nés sur les deux rives de la Méditerranée, qu'ils soient de souche européenne ou nord-africaine, chrétiens ou musulmans, qui ont vécu et sont morts pour la justice et l'honneur de notre pays.

On va dire que nous cherchons à rouvrir les blessures du passé... Mais elle ne sont pas refermées. Elles resteront béantes tant que des injustices de cette espèce seront permises ou favorisées. On va dire qu'il y a prescription, et amnistie, ce qui est vrai. Mais notre but n'est pas de traîner Mme Amrane-Minne devant les tribunaux. Elle a affaire avec celui de sa conscience. Notre but est seulement de projeter la lumière crue de la vérité sur ce dossier honteux, et de faire en sorte que les Français, tous les Français, puissent contempler cette trahison personnelle récompensée par une trahison d'état !

Bien que dotées d'un statut autonome assez avancé, les universités françaises sont publiques. Elles vivent par le soutien de l'Etat. Celui-ci, s'il était dirigé par des hommes honnêtes ayant à coeur l'intérêt général, l'honneur de son peuple et le respect de son histoire, ferait au moins en sorte de dénoncer publiquement ses errements de cinquante ans. Un Etat honnête, au minimum, suspendrait immédiatement toutes les prestations publiques dont Mme Minne, on l'imagine, bénéficie dans sa retraite. Par respect pour les seules victimes, ce serait la moindre des choses.

Il n'en sera rien, hélas ! Les Français d'Algérie, victimes d'une épuration ethnique oubliée, et les survivants Harkis, musulmans fidèles remis aux balles, aux couteaux et aux scies des égorgeurs, apprécieront l'étendue de l'outrage.

Les Français de métropole, eux, qui pour beaucoup, font face comme ils le peuvent à une crise économique et morale sans précédent, n'auront rien à dire, comme d'habitude. En plein débat truqué sur « l'identité nationale », le travail honnête et le patriotisme silencieux ne sont plus des valeurs quand la trahison et l'assassinat permettent l'avantage d'une carrière paisible sous le refuge des honneurs publics.

Dès 1963, Djamila Amrane-Minne s'est piquée de poésie, publiant des textes inspirés de sa « lutte » révolutionnaire. Une autre poétesse, américaine, celle-là, et aux mains non entachées du sang des siens, a écrit :  « Pécher par le silence quand nous devons protester transforme les hommes en lâches ». (Ella Wheeler Wilcox. 1850-1919)

Alors nous protestons ! Nous protestons aussi fort que nous le pouvons pour mieux montrer à tous l'odieux visage que sait si bien adopter la lâcheté de l'état français quand il vient à s’abaisser dans la plus indigne des forfaitures !


© Mattheus pour LibertyVox
Pour contacter l'auteur : mattheus@libertyvox.com

Notes :

*En 1950, Georges Boudarel, militant communiste français, passe au Vietminh. Nommé commissaire politique dans un camp de prisonniers, il y torture ses compatriotes. Revenu des années plus tard en France, il entreprend, sans jamais être inquiété, une carrière universitaire. A la veille de sa retraite, alors que, sans honte, il demande à l'Etat de faire reconnaître et valoir ses années indochinoises comme « voyage d'études en Extrême-Orient », il est reconnu par des anciennes victimes. S'ensuit un procès, qui n'aboutit à rien. Boudarel, bénéficiant de sa retraite allouée par l'état français, s'éteint paisiblement en 2003.

 

 

 

 

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 08:09
 





Nouvelles de France : Christian Vanneste, il semblerait que vos déclarations sur la possibilité d'accords électoraux entre l'UMP et le FN mettent en émoi le landerneau politico-médiatique...

Christian Vanneste : En général, quand il y a ce qu'on appelle maintenant un "buzz", les gens réagissent trop vite, ça fausse la sûreté des réactions...

Comment jugez-vous les propos de Rama Yade qui appelle l'UMP à vous exclure ?

Manifestement, Rama Yade a un besoin quasiment pathologique d'exister médiatiquement.

Elle prétend que le bureau exécutif de l’UMP a examiné votre cas et qu'il a été décidé de demander au Bureau politique d’engager une procédure de sanction contre vous...

Elle prend ses désirs pour des réalités. Des amis étaient présents à ce bureau et je puis vous assurer qu'il n'en est rien. J'ajoute que si Xavier Bertrand souhaite une explication précise de ce que j'ai dit, je suis à sa disposition.

Même la droite populaire refuse d'endosser votre idée d'alliance de toutes les droites sous certaines conditions...

Les membres de la droite populaire ont été reçu par Bruno Le Maire hier matin (deux semaines après l'avoir été par Brice Hortefeux, NDLR) et on en a parlé. Il n'a pas été dit que j'avais raison ou tort, le problème posé a été celui de l'opportunité : est-ce que c'est bien de tendre la main à des gens qui ne vont pas la prendre ? Le Nouvel Observateur vient de publier un sondage qui dit que 37% des sympathisants de l'UMP sont favorables à des alliances avec le Front national et 62% des sympathisants du Front national à des accords avec l'UMP. C'est le contraire de ce qu'affirmait Bruno Le Maire hier matin. Vous voyez, le problème est déjà dépassé...

Je pense que le vrai problème correspond à l'ouverture à la gauche qui trouble l'opinion. La droite populaire a l'intention de revenir au discours de Nicolas Sarkozy en 2007.

Est-ce que vous comprenez que votre proposition puisse choquer ?

Vous savez, j'ai mis des conditions à un rapprochement : 1) que ça ressemble à ce qui se passe en Italie avec Fini 2) que le Front national abandonne certaines positions ou réflexions comme les dérapages sur les questions historiques qui sont parfaitement inadmissibles. Cela montre d'ailleurs que Jean-Marie Le Pen n'a absolument jamais voulu arriver au pouvoir. Je souhaite qu'il y ait à terme deux grands partis en France et le bipartisme implique un spectre large. Margaret Tatcher avait une gauche et une droite avec Enoch Powell, une sorte de Le Pen local. Si certains à l'UMP ne comprennent pas mes propositions, c'est aussi parce qu'ils ne comprennent pas que dans certaines régions, le FN est très fort. Et on n'a pas tous la même sensibilité comme un Républicain du Maine n'a pas la même sensibilité qu'un Républicain du Texas.

Que répondriez-vous à Rama Yade ?

Que c'est bien de toujours vouloir surfer sur les médias mais qu'il y a un moment où le caractère superficiel de ses interventions nuit à son action politique. Et puis, on n'aime pas beaucoup qu'une mouche vienne perturber des conversations intelligentes. Les interventions vibrionnantes et sans fond de Rama Yade sont celles d'une femme qui n'a aucune connaissance, aucune culture et qui vient d'arriver. C'est agaçant...

Propos recueillis par Eric Martin



 

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 07:59



 

1/11/2010 – 18h20
PARIS (NOVOPress) : En juin dernier, la France entière ne parlait plus que de ça : l’organisation, puis l’interdiction, d’un Apéro Saucisson-Pinard à La Goutte d’Or, qui s’était conclu par un rassemblement de plus de 800 personnes place de l’Etoile. Une opération menée conjointement par Riposte laÏque et le Bloc identitaire, rejoints par une vingtaine d’autres organisations. On prend les mêmes et on fait… autre chose ? C’est ce que semble indiquer cette bande-annonce, qui annonce la tenue le 18 décembre prochain à Paris, soit six mois jour pour jour après l’opération Saucisson-Pinard, d’un important rassemblement à dimension européenne dans le cadre du refus de l’islamisation de la France et de l’Europe. Des personnalités européennes et des élus sont notamment annoncés. Lesquels ? Il va falloir attendre un peu pour le savoir…

[cc] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 07:35
Lundi 01.11.2010

"Défendre son foyer n'est pas un crime" - Manifestation à Béziers le samedi 20 novembre 2010


"Défendre son foyer n'est pas un crime" - Manifestation à Béziers le samedi 20 novembre 2010

Départ de la place du 11 novembre à 13h30
Arrivée au Palais de Justice (Place de la Révolution)
Allocutions de :
Fabrice Robert, Philippe Vardon (Bloc Identitaire)
Richard Roudier (Ligue du Midi)

"Pour le retour de René Galinier à Nissan et l'arrêt des poursuites"
"Pour l'instauration d'une défense légitime"
"Pour la sanctuarisation du domicile"


www.bloc-identitaire.com / info@bloc-identitaire.com

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Bus au départ de Nice, Toulon, Aix-en-Provence - renseignements: contact@nissarebela.com
Co-voiturage au départ de Lyon - renseignements: contact@lyonlemelhor.com
Co-voiturage au départ de Grenoble - renseignements: contact@maquisards.com
Co-voiturage au départ du Languedoc - renseignements: laliguedumidi@free.fr

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BLOC IDENTITAIRE
http://www.bloc-identitaire.com
Contact : contact@bloc-identitaire.com
Service Communication : 06 78 79 31 81
Permanence téléphonique : 09 75 41 63 22 (de 09h00 à 20h00)
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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 17:29
 

 



Le grand combat du moment consiste à stopper l'islamisation de notre Pays. Là-dessus, nul accommodement possible, fut-il qualifié de "raisonnable" par beaucoup trop de personnalités davantage en quête de suffrages que soucieuses de l'intérêt national. La loi islamique, la charia, est purement et simplement incompatible avec les valeurs de la France et, plus largement, avec celles de la civilisation occidentale. C'est peut-être là une évidence mais il convient cependant de la répéter chaque jour inlassablement.
Dans ce combat, "le Gaulois" n'est pas seul, bien évidemment. De nombreux organisations, associations, sites et journaux en ligne y participent et forment un réseau : le Réseau de Résistance. Chacun y met sa bonne foi, sa sincérité et son courage. Une liste non exhaustive figure dans la rubrique "Sites Amis". N'hésitez pas à les consulter : l'ensemble de toutes leurs informations et réflexions constitue un véritable arsenal pour le combat à mener.
Les articles du Gaulois sont libres de copie et de diffusion sous réserve de mention de la source d’origine : http://www.legaulois.info

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 07:32

    paulweston.jpg          Bonjour, mon nom est Paul Weston et je représente l’International Free Press Society. Je suis ici aujourd’hui parce que nos élites libérales ont trahi nos pays pour l’islam.

Il y a 42 ans, le politicien britannique Enoch Powell a prononcé son célèbre discours des « rivières de sang » dans lequel il déclarait que «la fonction suprême de l’homme d’Etat est de parer aux fléaux évitables.» Nos politiciens d’aujourd’hui font exactement le contraire : ils promeuvent activement un fléau évitable.

Il y a quatre-vingts ans, un homme, Winston Churchill a été très clair sur la prévention d’un mal manifeste et actuel, Herr Hitler et les nazis. Mais Churchill était la voix solitaire qui crie contre la vague d’apaisement, et un carnage qui aurait pu être évité a eu lieu avec une intensité redoublée.

L’Europe se retrouve aujourd’hui dans une situation similaire. L’islam croît aux plans démographique, territorial et militant tout en étant présenté comme une «religion de paix» par des politiciens lâches et carriéristes du type que ceux qui ont apaisé Hitler.

Pour Winston Churchill, l’islam n’était pas une religion de paix. Il l’a décrite comme une religion de sang et de guerre. Toute personne ayant une connaissance de la fondation et de l’histoire de l’expansion islamique sait que c’est la vérité.

Mahomet était un seigneur de guerre. Et il excellait. Il a vaincu militairement et converti la plupart des tribus païennes et chrétiennes de la péninsule arabique. Après sa mort, l’islam s’est rapidement répandu par l’épée, il a vaincu d’anciennes civilisations et envahi des continents.

Aujourd’hui, l’islam est en Europe, il est en Occident, et il exige ce qu’il a toujours exigé : la domination islamique totale. Et si nous voulons résister, ils utilisent la terreur contre nous.

Nos politiciens traîtres continuent pourtant de parler d’une «religion de paix », et ils nous disent que si nous refusons cette notion fantasmatique et ridicule et choisissons plutôt de croire Churchill qui disait que l’islam est une religion de sang et de guerre, nous serons jetés en prison.

Bien sûr, l’islam n’est pas une religion de paix. Son fondateur était un guerrier, et le plus grand honneur accordé à un musulman est la promesse de hordes de houris parfumées et de rapports sexuels éternels dans l’Au-delà qui ne se méritent pas des actes de bon samaritain mais en mourant en martyr en combattant pour répandre l’islam impérialiste.

Islam signifie littéralement soumission. Quel genre de religion se donne le nom de soumission ?

L’islam divise le monde en deux sphères : la Maison de l’islam (soumission) et la Maison de la guerre. Quel genre de religion se définit par la conquête militaire?

Pourtant, nos dirigeants nous disent que nous ne pouvons pas critiquer l’islam parce que c’est une religion, pendant que l’Organisation de la conférence islamique s’efforce, avec la connivence des Nations unies, de rendre illégale toute critique de l’islam.

Mais l’islam est beaucoup plus qu’une religion. Il s’agit d’un cadre politique, social, juridique et structurel qui domine totalement la vie d’un dévot musulman, et souhaite incidemment dominer aussi la vie de tous les dévots non musulmans.

L’islam est profondément intolérant et profondément antidémocratique. Il ne croit pas aux lois édictées par les hommes dans une démocratie, préférant se conformer à la parole absolue d’Allah telle qu’elle a été interprétée au 7e siècle par un analphabète du désert.

Nos politiciens ont importé cette idéologie intolérante et antidémocratique dans les démocraties libérales de l’Occident, puis ils osent nous criminaliser quand nous nous y opposons !

Mais comment ne pas critiquer l’Islam? Nos politiciens peuvent-ils vraiment protéger l’islam en tant que religion, le mettant ainsi hors de la portée de la loi ?

Quand des homosexuels sont pendus à des grues, est-ce l’islam politique en action ou l’islam religion? Quand des femmes adultères sont enterrés jusqu’aux épaules puis lapidées à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion ? Quand les musulmans qui veulent quitter l’islam sont condamnés à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion ? Quand des femmes et des filles sont tuées par des maris, des pères et des oncles pour préserver l’honneur familial, est-ce l’islam politique ou l’islam religion ?

S’il s’agit de l’islam politique, il faut dénoncer sa cruauté et sa barbarie. Si c’est l’islam religion, comment peut-on ne pas la dénoncer également ? Ce qui est mal est mal et ce qui est barbare est barbare et ne peut être soustrait à la critique en s’abritant sous le mot «religion».

En criminalisant la liberté d’expression, nos dirigeants socialistes montrent leur ambition dictatoriale. La liberté d’expression est la marque d’une société libre. La supprimer est un acte totalitaire d’autant plus grave que cette liberté est notre seul moyen de défense dans l’opposition pacifique à l’idéologie totalitaire islamique étrangère.

J’espère que vous saisissez l’ironie de la situation. Pour protéger et promouvoir une idéologie totalitaire étrangère, nos gouvernants sont prêts à utiliser des méthodes totalitaires domestiques pour nous empêcher de défendre notre démocratie et notre liberté.

L’Occident se conforme à la Convention européenne des droits de l’homme. Mais pas l’islam. Ils ont plutôt signé la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam.

Et ils ont une réserve très importante: en cas de conflit entre la charia et les droits de l’homme, devinez ce qui l’emporte ? Tout à fait. La charia prévaut sur les droits de l’homme.

C’est comme si un signataire de la Convention de Genève assassinait et torturait des prisonniers de guerre mais qu’il échapperait à un procès pour crimes de guerre parce que «ça fait partie de sa religion. »

Quand nos politiciens prétendent que l’islam est une religion de paix et laissent les musulmans imposer leurs lois chez nous, à l’Union Européenne et à l’ONU, alors nos politiciens trahissent leur pays et trahissent leur peuple. C’est un acte de haute trahison.

«Peut-on commettre un acte de trahison en période de paix ? » se demandent certains. Mais sommes-nous vraiment en paix ?

Nous ne nous considérons pas comme étant en guerre avec l’islam, mais l’islam se considère, lui-même, comme étant en guerre contre nous.

Et cette guerre nous sommes en train de la perdre. Sur les plans du territoire, de la démographie, de la politique et de la démocratie.
En effet, cette guerre est une agression sur deux fronts. D’un côté l’islam radical, de l’autre la trahison de la gauche.

On impose à nos enfants de célébrer le multiculturalisme et l’islam, sans leur dire la vraie histoire de l’islam violent et expansionniste.
Par contre, on leur raconte que leur propre histoire, leur religion, leur culture, leurs traditions, leur existence même, est juste une litanie d’impérialisme, de racisme, de meurtres et d’esclavage. C’est l’une des techniques psychologiques efficaces dont le but est de rendre l’ennemi sans défense, ou, pour citer Alexandre Soljenitsyne, « afin de détruire un peuple, il faut d’abord détruire ses racines ».

Un gouvernement qui fait subir cela à son propre peuple, à ses propres enfants, est un gouvernement qui, manifestement, mérite d’être renversé.

Quelqu’un peut-il vraiment argumenter en disant qu’un gouvernement qui flatte l’envahisseur étranger, tout en arrachant les défenses psychologiques et légales de ses propres citoyens, est un gouvernement qui ne serait pas coupable de haute trahison ?
Maintenant, nous arrivons à une partie plus réjouissante de ce monologue déprimant, parce que dans ce moment de la bataille, nous avançons. Lentement, il est vrai, mais constamment, et je pense que personne ne pourra nous arrêter.

Geert Wilders en Hollande, René Stadtkewitz en Allemagne, dont la popularité soudaine a obligé Angela Merkel à faire un virage à 180 degrés et à dénoncer le multiculturalisme.

Les Démocrates Suédois, Heinz-Christian Strache en Autriche, le Parti du Peuple Suisse, et en Angleterre où nous prévoyons un mouvement politique qui reprendra le flambeau de l’English Defense League et qui grandit rapidement.

Et cette croissance ne peut que s’accélérer. De plus en plus de gens ont pris conscience de la nature de l’islam et de la profondeur de la trahison des gouvernants de gauche, et plus important, dans la mesure où les gens perdent leur crainte d’être traités de racistes - cette étiquette ayant été spécialement inventée pour nous retirer toute résistance contre un envahisseur racialement désigné et qui utilise le thème racial comme arme contre nous.

En fait, regardons de près cette étiquette « raciste » maintenant. Ce n’est pas raciste de défendre notre pays contre une menace évidente et grandissante. Ce n’est pas raciste de défendre notre culture, notre héritage et nos traditions. Ce n’est pas raciste de s’efforcer d’assurer un avenir démocratique à nos enfants et à nos petits-enfants.

Si vous choisissez de ne pas défendre votre culture, votre pays et un avenir démocratique pour vos enfants, alors vous pouvez vous tapoter l’épaule dans les cocktails au champagne des « non racistes » socialistes à Islington. Vous pouvez adorer les idoles «anti-racistes» des autres autant que vous adorez les vôtres, mais cela n’enlève en rien de ce que j’ai dit de vous : des traîtres.
Vous êtes un traître à votre patrie, un traître à votre culture, et un traître envers vos enfants à naître.

Et de plus vous êtes un vrai raciste, un raciste génocidaire. Dans une génération à peine, les jeunes Européens de souche vont devenir une minorité ethnique dans leur propre pays, si l’immigration de masse et la démographie galopante des musulmans continuent à ce rythme.

On peut appeler cela poliment une immigration de remplacement. Plus crument, cela s’appelle un génocide non sanglant.
L’ONU est très clair sur ce point. La définition d’un génocide est la suivante, je cite :

« Article 2 : Dans la présente convention, le terme génocide signifie tout acte commis avec l’intention de détruire, totalement ou en partie, un groupe national, racial ou religieux ».

Nous avons été trahis.

L’un des plus tristes aspects de cette trahison est l’effet produit sur nos vétérans, sur tous ceux qui ont combattu pour leur pays et qui sont encore une vivante mémoire.

L’ancien pilote de Spitfires, Alex Henshaw, est décédé il y a trois ans. Il était parfaitement conscient de la trahison politique de son pays. Il a dit :

« Je ressens une profonde tristesse en pensant aux hommes jeunes que j’ai connus et qui ont donné leur vie pour une cause à laquelle ils croyaient. Je me dis souvent, si ces hommes jeunes revenaient maintenant et marchaient dans leurs villages, leurs villes, et voyaient ce qu’il nous advient, ils se diraient : nous avons été trahis ».

Oui, Mr Henshaw, vous avez été tous trahis, et vous tous, gauchistes, socialistes et verts, vous allez devoir reconnaître ce que vous avez fait.

Allez donc faire un tour dans vos villes, vos villages, et regardez les centaines de milliers de tombes, comme un testament du sacrifice ultime fait par des hommes jeunes, afin que vous puissiez vivre, aujourd’hui, en toute liberté dans une démocratie.

Vous allez devoir apprendre que ce n’est pas une simple trahison, mais une triple trahison :

  •  La trahison de tous nos parents qui ont combattu pour notre liberté,
  • La trahison de ma génération, que vous menacez d’emprisonner lorsque nous défendons l’héritage de notre liberté, et
  •  La trahison de nos enfants à naître, qui, sauf si nous n’arrêtons pas les tendances, immédiatement, vont hériter d’un pays ravagé par des haines tribales et religieuses, ce qui entraînera, inévitablement, une gigantesque guerre multiculturelle à échelle continentale qui fera ressembler le conflit Yougoslave à une légère escarmouche.

Et, bien sûr, c’est la trahison totale de la liberté et de la démocratie.
En effet, la liberté et la démocratie ne sont pas apparues magiquement. Elles ont évolué sur 2500 ans, enracinées dans l’héritage Gréco Romain et Judéo Chrétien, et elles été défendues dans le sang et le sacrifice.

La démocratie et la liberté ne sont des possessions personnelles dont les socialistes pourraient disposer à leur gré, sans notre accord, au profit des descendants de guerriers du désert vivant encore comme au 7ème siècle, et qui jugent notre attachement à la démocratie comme une simple faiblesse à utiliser contre nous.
Je ne blâme pas l’islam. Les islamistes font exactement ce qui est prescrit dans leur livre.

Mais je blâme nos politiciens. Il y a deux camps dans cette guerre de civilisation, et nos politiciens sont dans le camp de l’ennemi.

Alors, je leur dis :

Vous avez les leviers du pouvoir en ce moment, mais nous effectuons une ascension irrésistible. Pensez-vous sérieusement que vous pourrez continuer à faire tout ce que vous avez fait subir à votre propre peuple, sans des répercussions futures ?

Vous pouvez encore arrêter tout cela, si vous le choisissez, tout simplement, en mettant l’intérêt de votre peuple avant celui de l’islam.

Mais vous ne le ferez pas, n’est-ce pas ? Alors, vous nous mettez dans une mauvaise posture. Si nous ne faisons rien, nous devons accepter que nos enfants devront vivre un jour sous le joug des lois de la charia.

Et si nous faisons quelque chose, alors ce sera, par définition, une révolution. Mais ce n’est pas nous qui l’avons voulue. C’est vous. La plupart d’entre nous étions satisfaits de tondre notre pelouse, d’aller au travail et de payer nos impôts.
Vous avez fait de nous des révolutionnaires. Votre comportement montre que vous avez plus peur de l’islam que de nous, mais laissez-moi vous dire ceci, à vous tous, menteurs et traîtres carriéristes socialistes :

Vous détenez le pouvoir maintenant, mais dans une décennie nous détiendrons le pouvoir et nous vous demanderons des comptes. Nous vous traînerons devant un tribunal du style Nuremberg où vous serez jugés pour haute trahison, où vous serez jugés pour crimes contre l’humanité, et pour la première fois depuis longtemps, nous serons vos juges.

Source : Gate of Vienna  Traduction par Poste de Veille en collaboration avec Suzanne, (un grand merci ).

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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 16:15

 

 

 

Le gouvernement algérien ne manque pas d’air.

Alors qu’il exige, de la France, toujours plus de visas et la libre circulation pour les citoyens algériens entre les deux pays, il persiste à refuser que les français d’origine algérienne, ayant servi la France en Algérie, puissent bénéficier de ces mesures.

Ainsi, la France aurait le devoir - l’obligation, même - de laisser s’installer en France, les algériens désireux de fuir leur pays, sa misère et sa dictature.

Mais la réciproque… (Réciproque ? ça veut dire quoi, ça ? ils ne connaissent pas le mot... vous pouvez répéter ?) La réciproque, donc, n’est pas acceptée par les algériens.

Ainsi, les Harkis, dont la majorité est d’origine Kabyle, ne retrouveront pas, encore, le droit de retourner chez eux. Le président Bouteflika vient de réaffirmer sa position. Pourtant ils sont des français à part entière. Bien plus français que les algériens « nationalisés français » qui ont choisi notre pays, après 1962.

Est-ce que le président algérien est aussi droit dans ses bottes lorsqu’il s’agit d’accueillir, sur son sol, des français, algériens ou non, avec leurs comptes bancaires bien remplis ?

Non, évidemment. Ceux-là sont les bienvenus, même s’ils sont, en grande partie, responsables de la vie misérable des algériens d’aujourd’hui.

Alors, essayons de revenir sur le but de la visite de Madame Alliot-Marie à Alger - outre qu’elle le fait pour déblayer le terrain à JP. Raffarin qui s’y rendra à la fin de ce mois de novembre - et des dispositions que l’Etat français s’apprête à revoir pour favoriser la libre circulation des algériens en France.

Vous noterez que nous ne parlons que de « la libre circulation des algériens vers la France », pas de l’inverse. Et pour cause.

Pourtant, selon les « accords d’Evian », signés sous De Gaulle, en mars 1962, l’Algérie devait s’engager à respecter la libre circulation des citoyens des deux pays, entre autres dispositions.

Ces accords qui ont été signés par la France et, uniquement et seulement, respectés par la France, continuent d'empoisonner la vie des français.

Parce que la France n’a pas le courage - ou n’a pas le pouvoir - de mettre fin aux exigences des algériens.


POURQUOI ?


La question est d’autant plus importante qu’elle permet à tout un chacun d’imaginer les raisons qui poussent la France à tout accepter d’un ancien terroriste, Bouteflika, qui l’a combattue sans remord.

De quelle manière et pour quelles raisons, l’Algérie obtient-elle de la France tout ce qu'elle veut ?

Pensez-vous que les seuls intérêts financiers de certains "puissants groupes français" soient une raison suffisante pour accorder tant de concessions à l’Algérie, comme le suggèrent certains hommes politiques ? Non.

Que l’on n’invoque pas, non plus, la colonisation ; elle a largement été compensée, depuis 50 ans, par les « faveurs » de la France envers l’Algérie.

N’était-ce pas le « deal » des deux parties en charge de signer ces accords ?

  • La France a abandonné le Sahara avec son pétrole et son gaz.
  • La France a mené à leurs termes tous les grands chantiers qui étaient commencés et même ceux qui n’étaient qu’en projet, dans le pays. La « coopération » n’a existé, après 1962, que dans ce but.
  • L’armée française s’est retirée, deux ans après l’indépendance, alors que les accords stipulaient 15 années de présence française en Algérie. La France y a perdu son arsenal et le fleuron de la Marine, Mers el Kebir. (Butin de guerre ?)
  • Les civils français d’Algérie ont dû, impérativement, dégager le terrain et quelles qu’aient été les conditions, nous en avons, seuls, payé le prix.

D’ailleurs, ne croyez-vous pas que nos vies, condamnées en 1962, n’auraient pas largement suffi à régler la dette de la France envers l’Algérie ?

Et, malgré toutes ces ignobles concessions, la France serait encore redevable à l’Algérie ?

Nous n’en croyons pas un traitre mot. Par contre, il semble de plus en plus évident que l’Algérie exerce un chantage sur la France.

Et, si chantage il y a, ces questions se posent.

Quelle a, donc, pu être la faute commise et inavouée, que la France ne veut pas voir révélée, pour qu’elle subisse, encore aujourd’hui, le chantage des dirigeants FLN de l’Algérie ?

Quel est ce secret qui fait que tous ces hommes politiques, de gauche et de droite qui nous dirigent depuis 1962, continuent à favoriser cette Algérie, toujours plus haineuse envers la France ?

Pourquoi ces accords, rédigés au conditionnel, n’ont engagé que la France, sans aucune autre forme de négociations de la part des autorités françaises ?

Pourquoi, à partir de ces accords, la France a-t-elle refusé de rapatrier, avec son armée, les harkis qui étaient encore bien plus exposés que nous à la haine des égorgeurs du FLN ?

Pourquoi la France a-t-elle encouragé les français d’Algérie à rester au pays ?

Pourquoi l’armée française n’a-t-elle pas protégé les civils français, après le 19 mars 1962, les laissant se faire occire par les terroristes et même par la population algérienne ?

 

Pourquoi la France n’a-t-elle pas exigé que lui soient rendus les prisonniers français, civils et militaires, faits pendant la guerre d’Algérie ? Tous les rapports officiels de l’époque et même l’aveu de Boumediene prouvent que la France les a délibérément laissés crever dans ce pays.

Pourquoi la France n’a pas recherché et rapatrié, comme toute nation se doit de le faire, les corps de tous les citoyens français massacrés en Algérie après l’indépendance ?

Et enfin, aujourd'hui encore,

Pourquoi les autorités françaises ne négocient-elles qu’avec l’Algérie, la libération des otages français sur le territoire africain ?

 

Pourquoi tous ces ressortissants algériens qui vivent  sur notre territoire, bénéficient-ils, encore et toujours plus, de tous les avantages, de visas et de tant de clémence dans leurs actes de violence et dans leurs crimes, clémence inexistante et impensable pour les français de souche européenne ?

Nous sommes bien obligés de constater que la France agit, depuis 1962, comme si elle avait peur de contrarier l’Algérie.

Un peu, à la manière d’un coupable dont le terrible secret est connu d’un seul autre et qui consent à toutes les exigences de celui-ci pour que ce secret ne soit jamais révélé. Et cela s’appelle du chantage.

La France est-elle victime d’un chantage de la part des algériens ?

Et, si chantage il y a, il concernerait un secret qui ne devra, en aucun cas, être révélé au peuple de France. Un secret si lourd, que sa révélation créerait une véritable révolution dans le pays qui ferait sauter la Vème République comme un bouchon de champagne.

En tout cas, si chantage il y a - hypothèse que nous avons de plus en plus de mal à écarter - nous savons que ses conséquences conduisent la France d’aujourd’hui à la ruine totale de notre pays.

Et cela ne concerne plus que les seuls français d’Algérie mais tous les français.

C’est l’affaire de tous les français, excédés à juste raison, qui doivent pouvoir comprendre les raisons qui poussent la France à la reddition perpétuelle devant ce pays ennemi de toujours.

 

 

Merci à "Nobeline"


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